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Bio ne veut pas dire « sans pesticide », la preuve avec l’insecticide biologique au bacillus thuringiensis

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Après l’invasion de mon jardin par des chenilles vertes défoliatrices, je suis parti en jardinerie pour y chercher une solution naturelle, bio et écologique.

Vous serez surpris(e) par ce que j’y ai trouvé !

Comme je le dis en titre de la vidéo, il y a vraiment quelque chose que tout le monde devrait savoir sur l’insecticide biologique au bacillus thuringiensis…


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Ce que tout le monde devrait savoir sur l'insecticide biologique au bacillus thuringiensis

J’ai d’abord une urgence à traiter.

J’ai une infestation de chenilles vertes.

Je vais vous montrer ça !

Je ne sais pas si vous voyez, là, ça c’est des groseilles à maquereaux.

Et normalement, il devrait y avoir des feuilles !

Là il n’y a plus que les fruits, et ce sont des toutes petites chenilles.

Là on voit des cocons.

Il en a une qui est en train de grimper !

Là !

Et le problème, c’est qu’ils sont en train d’attaquer à côté aussi !

Je vais aller en jardinerie.

Je vais voir si je trouve quelque chose qui est compatible avec l’agriculture biologique.

Enfin, je n’aimerais pas mettre des pesticides…

Salut, c’est Marc !

Et je profite de la vidéo d’aujourd’hui pour parler d’un sujet dont je n’avais pas prévu de parler au départ.

Tout ça m’a amené à une réflexion parce que je me suis retrouvé face à une invasion de chenilles vertes défoliantes.

Donc c’est des chenilles qui sont là par centaines, en train de nettoyer tout le jardin.

Le buisson été décimé en l’espace de deux ou trois jours.

Donc après ça, moi j’ai cherché déjà sur Internet, à droite, à gauche, des informations.

Donc je disais, les solutions naturelles c’est d’utiliser de l’eau vinaigrée, du savon noir, de les enlever à la main.

Donc ça c’est une solution vers laquelle je suis en train de m’orienter aussi entre autre.

Et puis je suis tombé sur quelque chose dans la jardinerie…

Désole c’est … Tout et un peu bruyant…

Maintenant il y a un hélicoptère, là !

Disons, à part utiliser des solutions en magasin, ou faire à la main , il y a aussi faire confiance aux prédateurs…

… de de se dire : “tiens, on va laisser les oiseaux ou les insectes, les animaux prédateurs de ces chenilles, faire leur travail !”.

Mais visiblement elles n’ont pas repéré mes chenilles vertes.

Du coup je suis tombé sur une solution, un truc, vraiment, je ne connaissais absolument pas, parce que je ne m’étais jamais vraiment intéressé à ces questions.

Et je suis tombé sur quelque chose qui était 100 % d’origine naturelle, compatible avec l’agriculture bio.

J’ai dit : “ok, je prends ! J e ne réfléchis pas, je prends…”.

Arrivé à la maison, je regarde un peu…

Ça va être compliqué là…

Je ne sais pas si vous m’entendez, en tous cas moi j’ai un gros, gros bruit là…

Derrière moi là…

Je ne sais pas ce que c’est , ils sont en train de couper une haie…

Bref !

Donc , ben je vais essayer de vous parler quand même.

Désolé pour le bruit, je m’excuse vraiment, mais il faut que je continue la vidéo parce que je ne vais pas pouvoir attendre qu’ils terminent leur haie.

Parce que je ne sais même pas où ils sont là…

Bref !

Donc, ce que je disais…

Quand je suis rentré à la maison, j’ai regardé l’emballage, et puis il y avait des instructions qui disaient de mettre des gants, de faire attention.

C’est irritant, il y a des risques allergiques…

Enfin, énormément de recommandations de sécurité qui m’avaient un petit peu inquiété…

En fait, c’était un insecticide bio d’origine naturelle à base d’une bactérie.

C’est Bacillus Thuringiensis.

Cette bactérie, elle est donc compatible avec l’agriculture bio.

Pour moi, l’agriculture bio, et puis pour beaucoup de gens aussi, ça représente quand même, disons, un geste favorable en terme écologique.

On sait qu’on va avoir un certain respect pour l’environnement, un certain respect pour le sol…

Voilà, et puis un respect pour les personnes qui vont consommer les produits ensuite.

Et puis on essaie de ne pas polluer l’environnement, et de ne pas avoir un impact sur la faune, et la flore.

Donc je me suis dit : “si c’est bio, c’est que ça doit respecter ce cahier des charges a priori.”.

Donc comme vous le savez peut-être, en agriculture bio, on n’a pas le droit d’utiliser des pesticides chimiques.

Mais par contre là c’est une bactérie.

Et puis, comme vous me connaissez peut-être, je suis pas du genre à m’arrêter là.

Non, moi j’ai creusé, je suis allé voir un petit peu plus loin.

Et je me suis dit, il y a quand même quelque chose que j’aimerais comprendre.

C’est comment fonctionne cette bactérie, qu’est-ce qu’elle fait, quel est l’impact, s’il y en a un, sur l’écologie autour.

Parce que bon, ça va tuer ces chenilles quand même.

Qu’est-ce qui va se passer ?

Pourquoi ? Comment ?

Voilà, j’ai regardé.

Curieusement, je ne m’étais jamais trop penché sur la question des pesticides bio.

Mais il y a des pesticides, de insecticides bio, mais ils ne sont pas d’origine chimique.

Là en l’occurrence il s’agit d’une bactérie c’est Bacillus Thuringiensis, j’en ai déjà parlé au début de la vidéo.

Cette bactérie, c’est une bactérie qui fabrique un cristal protéique qu’elle va va libérer dans l’environnement.

Toutes les bactéries de cette famille-là ne sont pas des bactéries qui ont un effet insecticide.

Donc il y a plusieurs variantes à l’intérieur, mais il y en a certaines qui ont été sélectionnées pour justement leur propriété insecticide.

Ce qui est intéressant à noter aussi c’est qu’évidemment ces bactéries sont naturellement présentes dans l’environnement.

En gros, c’est pas un produit OGM, c’est pas quelque chose qui était manipulé pour fabriquer de l’insecticide ou quoi…

Ça a été à l’origine isolé, il me semble sur le ver à soie, à l’époque, et c’est parce qu’on a vu que le vers à soie était malade, et les vers à soie, vous savez, on les utilise pour faire la soie.

Donc ceux-là, on ne voudrait pas qu’ils meurent.

Et quand on remarque qu’ils meurent, et qu’on ne sait pas pourquoi, on cherche.

Et puis du coup, c’est comme ça que ça a été découvert.

Donc c’est intéressant.

Et maintenant, c’est utilisé dans le rôle inverse.

C’est-à-dire qu’on ne veut pas protéger des vers à soie, on veut plutôt tuer toutes les chenilles qui viennent dévaster nos récolter et nos cultures.

Là où j’ai été très étonné, c’est quand j’ai découvert que c’est à partir de cette bactérie là qu’on a récupéré des gènes qu’on utilise maintenant dans un grand nombre de plantes qui sont génétiquement modifiées !

Notamment du maïs, etc., donc c’est le gène Bt comme Bacillus Thuringiensis.

Et donc, il y a dedans ce cristal protéique, on a récupéré le gène qui permet de fabriquer ce cristal protéique, parce que ce cristal c’est l’agent qui va tuer la chenille.

Donc en bio, on utilise la bactérie, et on la laisse se développer toute seule à la surface des feuilles des plantes pour essayer ensuite de les protéger.

Puisque quand l’insecte va le manger, il va tomber malade et il va mourir.

Et quand on fait des OGM par contre, là on isole le gène qui vient de cette bactérie pour pour le faire fabriquer par la plante carrément !

Et c’est là où il y a un peu des problèmes et des risques.

C’est-à-dire qu’on est pas sûr de pouvoir maîtriser la croissance, le développement, et la dissémination.

Il peut y avoir des mélanges de gènes, qui font que le gène peut être échangé avec l’environnement externe, même si la plante elle-même est programmée pour mourir après avoir fait la récolte.

Normalement, ce n’est pas des graines qui sont censées se reproduire d’elles-mêmes.

Il y a toute une série de protections mises en œuvre pour justement se mettre en conformité avec les attentes des autorités de santé, pour ce type de de produit OGM puisse être commercialisé…

Moi je ne suis pas du tout “fan”, mais je suis quand même étonné de me rendre compte finalement qu’en agriculture bio, on utilise la même chose que dans les OGM.

Simplement, au lieu d’avoir la protéine, on a la bactérie qui fabrique la protéine !

Et à un moment donné, cette protéine, elle est difficilement éliminable dans l’environnement…

Donc même quand la bactérie est morte ce qui intéressant à noter, c’est que cette protéine continue à être présente.

Elle peut être enrichie dans le sol.
Et elle peut se retrouver à ruisseler, à arriver jusque dans les eaux où il y a des poissons, etc.

Alors j’ai cru comprendre, qu’il pouvait y avoir des impacts sur notamment les daphnies qui sont des petits organismes qui vivent dans les eaux douces…

Au-delà de ça, bon est-ce que c’est un danger pour l’homme ?

Aussi bien la bactérie que la protéine, c’est toute la question…

Et moi je suis quand même surpris que finalement même en agriculture bio, on n’ait pas placé la barre plus haut, et que cet insecticide là soit quand même l’élément “roi” pour lutter contre les invasions chenilles…

Alors je comprends un peu la situation par rapport à mon désarroi à moi…

Puisque je me retrouve complètement piégé par une nuée de chenilles…

Et puis à part de les enlever à la main, ou d’utiliser ce produit là, je ne sais pas trop ce que je pourrais faire…

Une petite parenthèse.

J’aimerais parler un petit peu du mécanisme de cette protéine.

C’est très très intéressant.

Donc là on rentre vraiment dans un mécanisme biologique, vous allez voir, c’est stupéfiant, et en même temps, c’est un peu effrayant…

Cette protéine, elle est fabriquée par cette bactérie qui peut être pulvérisée à la surface des feuilles etc.

Et quand elle…

En plus maintenant, il y a du vent…Il y a des trucs.

Bref !

J’espère que vous arrivez encore à m’entendre.

Je vais me tourner, se suis désolé, je ne suis pas du côté de la caméra…

Mais comme il y a beaucoup de vent, je ne voudrais pas que le micro prenne tout le vent !

Bref ! J’espère que vous m’entendez !

Donc, je disais que cette bactérie va fabriquer une protéine qui est sous forme de cristal.

C’est comme des cristaux, des cristaux de sel,vous pouvez imaginer ça, sauf que ce n’est pas essentiellement minéral, mais c’est un cristal à base protéique.

Quand la chenille va manger ces feuilles, il va avoir sur les feuilles des bactéries.

Et quand les bactéries sont ingérés par la chenille, ça va arriver dans l’intestin.

Et une fois dans l’intestin, l’intestin la chenille a la particularité d’être très alcalin.

Donc dans un milieu alcalin, il y a certains types de protéases, des enzymes qui vont couper les protéines de ce cristal.

Et donc que ce cristal va se solubiliser dans un milieu alcalin, il va ensuite être coupé par une protéase, par une enzyme spécifique de l’intestin de la chenille.

Et ensuite ça va permettre de libérer une toxine.

Donc la toxine, ce n’est pas le cristal lui-même, c’est une fois que le cristal a été coupé.

Et il n’a été coupé que par des protéines spécifiques, par des enzymes spécifiques chez la chenille.

Donc nous on n’a pas cette enzyme là a priori, et d’autre insecte non plus.

C’est quelque chose de très spécifique !

Suite à ça, cette toxine va s’insérer dans la paroi des cellules de l’intestin, et vont former des pores.

Et ses pores vont faire comme un siphon, elles vont laisser passer tout et n’importe quoi, sans aucun contrôle…

Du coup la chenille ne va plus pouvoir se nourrir, parce qu’elle ne va plus pouvoir assimiler tout ce qu’elle a consommé.

Elle va dépérir parce que ça va créer des trous dans les intestins, quoi pour être simple !

Donc moi je trouve que c’est hallucinant ! Quoi…

Pourtant c’est comme ça qu’on fait !

Et même en agriculture bio, c’est ça qu’on utilise aujourd’hui encore.

C’est assez surprenant !

Moi je ne sais pas ce que vous en pensez, mais à la fin, on choisit bio les yeux fermés et puis on se rend compte qu’en cherchant un petit peu derrière les emballages des produits qui sont censés être bio…

O se rend compte qu’il y a quand même des choses assez terrifiantes qui peuvent se cacher.

Et quand on achète nos produits bio dans le magasin, ben, plus on a pulvérisé de pesticides comme celui-ci, même si ce n’est pas chimique, plus on en aura mis un peu partout, plus la culture va avoir un rendement élevé.

Et moins le coût va être important !

C’est peut-être une des manières qu’utilise la grande distribution, vous savez, les grandes surfaces, les grands grands distributeurs pour vendre du bio en masse, et pas cher.

Il faut trouver un moyen d’être productif comme on le serait avec l’agriculture intensive…

Et à la fin quand on a des chenilles qui dévorent tout, on a un nid de chenilles, ça peut vous dévorer des arbres entiers en l’espace d’un ou deux jours, même pas !

Donc si on arrive à les neutraliser avant qu’ils fassent des dégâts aussi portants, on va réussir à avoir une récolte importante.

Donc le rendement augmente, donc soit on vend le même prix, et puis on s’en met plein les poches, soit on peut vendre moins cher.

Et donc il y a ces deux approches là !

Et on peut mettre l’étiquette bio à partir du moment ou ce n’était pas des pesticides chimiques !

…et qu’on a respecté évidemment tout le reste du cahier des charges de l’agriculture bio.

Donc il y a quand même un certain nombre de règles qui sont favorables à l’environnement, etc.

C’est quand même relativement positif au final, c’est toujours mieux d’avoir une bactérie qui est disséminée localement pour répondre à un problème de chenilles qui viennent d’envahir une culture, plutôt que d’épandre des pesticides chimiques en masse, en préventif avant même de savoir s’il va y avoir des insectes qui les attaquent !

Et puis en même temps, les plantes OGM, c’est encore pire parce que ça peut être un vrai danger pour l’environnement, de développer aussi bien des résistances d’un côté que…

Voilà, on n’a plus aucun contrôle…

Et puis un autre mécanisme qui entre en ligne de compte, a art les trous que fait cette bactérie dans l’intestin de la chenille, c’est aussi que ça peut coloniser, envahir complètement la chenille.

Et le fait de coloniser, en tant que tel, peut finir par tuer la chenille sans sans avoir à passer par ces trous dans les intestins !

J’ai du malade à être satisfait de cette approche de l’agriculture bio…

Maintenant on ne peut pas savoir quand on achète un produit s’il a été traité de cette manière-là ou autrement.

Quand on les consomme directement à la sortie du magasin, sans les avoir la laver ni rien, est-ce que c’est bon ? Est-ce que ce n’est pas bon ?

Il y a des études qui ont montré que même si on n’en ingérés des fortes quantités a priori il n’y a pas de risque pour l’homme, ce n’est pas létal, ce n’est pas toxique.

Par contre, j’ai quand même vu des choses dans certains article de la littérature vraiment très spécialisée sur ces cristaux là, que ça peut quand même avoir un impact sur l’élévation de la réponse immunitaire !

On a des marqueurs de l’immunité qui commencent un peu à se réveiller.

Donc il y a quelque chose se passe !

Maintenant, est-ce que c’est vraiment allergisant, ou allergène ?

À l’heure actuelle, on n’a pas suffisamment de recul, et il y a beaucoup de gens notamment Monsanto et compagnie, tous ceux qui veulent essayer de vendre des produits transgéniques qui veulent essayer de pousser vraiment pour dire que c’est en totale sécurité, qu’il n’y a aucun risque.

Moi, moi ça me laisse un petit peu perplexe, et puis ça remet un peu en question les choix qu’on fait.

Je ne sais pas…

Est-ce que ça suffit de manger bio ?

Est-ce que ça suffit de cultiver son jardin et de se dire : “tiens, j’ai un problème je vais aller à la jardinerie prendre un pesticide bio, le mettre un peu partout, et faire comme si de rien n’était”…

Maintenant il y a un impact, et malheureusement on n’a pas assez de recul forcément sur l’utilisation massive de ces bactéries, et sur le développement très rapide de l’utilisation de ces OGM dans plein de pays.

Heureusement pas trop en France parce qu’il y a une pression politique qui essaie un petit peu de canaliser tout ça.

Don on est un petit peu “privilégiés”, mais les produits peuvent quand même arriver dans les rayons de nos magasins…

Au final ce n’est pas évident !

Donc au moins l’agriculture bio il y a cette approche plutôt respectueuse de l’environnement, et de la personne.

Il y a ce côté : “j’y vais pas trop en préventif, j’y vais plutôt en curatif” quand il y a un problème et qu’il faut s’en occuper, on le faire a posteriori.

Si on fait des pulvérisations locales, c’est toujours moins grave que de faire, vous savez de disperser carrément avec l’hélicoptère, avec l’avion sur des champs entiers des produits comme ça de manière discriminée.

La chose que je voudrais dire, c’est que, pour une fois, j’ai un petit peu traité un sujet un petit peu annexe ce que je traite habituellement, mais ça rejoint la question que j’aborde habituellement vis-à-vis des intolérances alimentaires, puisque quand on veut essayer faire attention à ce qu’on mange, souvent on essaie de s’orienter vers le bio !

Donc là c’est plutôt une vidéo de réflexion autour de cette question, parce que moi, plus j’ai creusé, plus voilà, je ne vais pas dire que je suis tombé des nues, mais j’ai quand même été assez surpris que finalement on utilise les mêmes bactéries que celles dont on extrait les protéines pour faire des OGM Quoi !

Bref !

Donc voilà c’est comme ça, notre monde est comme ça, donc à part cultiver soi-même, et puis aller chasser les chenilles directement dans le jardin, je crois qu’on est un petit peu condamné malheureusement à vivre avec ça quoi !

Si vous êtes intéressé par la problématique des intolérances alimentaires, d’utiliser votre alimentation au service de votre santé plutôt que vous charger en pesticides, comme c’est le sujet de la vidéo d’aujourd’hui, je vous invite à vous inscrire à ma newsletter, pour avoir de plus amples informations sur tout un tas de choses autour des intolérances alimentaires, de la nutrition santé, etc.

Et puis ben, tiens !

Pour une fois, si vous avez trouvé cette vidéo intéressante, n’hésitez pas à la partager, à “liker”, à mettre des pouces vers le haut pour dire que ça vous a plu.

Moi je vous dis à très vite pour la prochaine vidéo !

Ciao, ciao !


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Vous êtes concerné(e) par un changement alimentaire à cause d’une maladie liée au gluten (maladie coeliaque, sensibilité au gluten non coeliaque, allergie au blé).
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Je ne me contente pas d’enlever le gluten, j’ajoute des informations nutritionnelles, de la vulgarisation scientifique, une dose de créativité et quelques soupçons d’humour.


😼 QUI EST MARC WELTER ?

Je suis victime de nombreuses intolérances alimentaires.
Je parle de régime sans gluten et sans lait, d’intolérances alimentaires, de nutrition-santé
Je me sers de ma passion pour la bonne cuisine, de mon doctorat de Biologie, et de ma formation de thérapeute en nutrition-santé globale pour vous apporter un éclairage unique sur l’alimentation et la santé.
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