Pourquoi manger sans gluten ?
Il m’est arrivé de ressentir de la tristesse devant toutes ces personnes qui n’arrivent pas à comprendre pourquoi quelqu’un voudrait manger sans gluten !
En plus de 8000 ans d’agriculture, l’Humanité est désormais tellement habituée à la richesse et l’abondance des céréales et du gluten dans l’assiette qu’on ne la questionne plus !
L’offre est si grande aujourd’hui que le fait de devoir manger sans gluten est devenu un vrai casse-tête, une source d’incompréhension, et finalement une source de confusions pour la plupart…
Au fait, pourquoi manger sans gluten ?
Bienvenue sur le blog-sans-gluten.com, le blog qui commence justement là où le gluten s’arrête…
Si vous arrivez sur cette page, ce n’est pas le fruit du hasard.
Il y a forcément une raison pour que vous vous intéressiez à la cuisine sans gluten.
Il s’agit forcément d’une excellente raison !
Mais est-ce la seule bonne raison d’arrêter le gluten ?
J’ai voulu passer en revue ce que je pense être 7 bonnes raisons de manger sans gluten.
Aurai-je été capable de deviner la vôtre ? (vos commentaires seront les bienvenus…)
Pour le savoir, je vous invite à lire la suite…
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La première question qui vient à l’esprit quand on s’engage vers une alimentation sans gluten est évidemment :
Pourquoi manger sans gluten ?
Un changement aussi important que d’arrêter le gluten n’est pas chose simple. Cela a immanquablement un impact fort sur vos habitudes alimentaires et culinaires.
Je le sais moi aussi d’expérience…
Evidemment, les produits contenant du gluten sont très prisés et largement plébiscités. Le gluten se retrouve cuisiné à toutes les sauces, même (et surtout) là où on ne l’attend pas…
Comme tout le monde vous mangez et appréciez des produits tels que pain, pâtes, pizza, viennoiseries, bières, pour ne donner que quelques exemples de sources de gluten, et sans chercher à être exhaustif…
Le fait de vouloir cuisiner sans gluten, manger sans gluten, et finalement de vivre sans gluten n’est pas chose facile, surtout en Occident.
Heureusement il existe des solutions de pain sans gluten, de pâtes sans gluten, de pizza sans gluten, de viennoiseries sans gluten, et aussi de bière sans gluten !
Mon blog sans gluten sert justement à vous apporter des solutions !
7 bonnes raisons de manger sans gluten ?
En cherchant bien, je pourrais probablement trouver mille et une raisons d’arrêter le gluten.
Mais je me suis arrêté à 7 !
Et les sceptiques trouveront sûrement mille et un contre-arguments pour défendre l’héritage culinaire traditionnel plus que millénaire de l’utilisation du gluten.
Voici tout de suite la première bonne raison d’arrêter le gluten, certainement la plus justifiée et reconnue de toutes.
1. Vous avez la maladie coeliaque
Sur un plan strictement médical, la seule raison incontournable de vous engager dans un régime alimentaire sans gluten, c’est justement après un diagnostic de maladie coeliaque.
- des tests sanguins de dosages d’anticorps spécifiques de la maladie (malheureusement pas toujours sensibles, ni infaillibles)
- une biopsie de l’intestin grêle (lourde à effectuer mais fiable et indispensable pour valider définitivement le diagnostic)
Cette maladie auto-immune attaque l’intestin pour le détruire, et entraîne d’autres risques de complications graves pour la santé sur le long terme.
Le diagnostic de la maladie coeliaque marque donc le début d’une nouvelle vie. On sait que cette maladie est déclenchée par le gluten, et reste sans traitement à ce jour.
La seule solution est donc l’éviction stricte du gluten à vie, car quelques traces suffisent à réactiver la maladie !
Une autre maladie auto-immune liée au gluten a été identifiée, et je la mentionne rapidement sans développer. Il s’agit de la dermatite herpétiforme.
Voyons maintenant un autre cas de maladie lié au gluten, et bien reconnu médicalement.
2. Vous avez une allergie aux protéines de blé ou de céréales
Etre allergique au blé, c’est une autre raison vraiment indiscutable de manger sans gluten !
Comme pour la maladie coeliaque, c’est une analyse médicale par un test sanguin de dosage d’anticorps spécifiques de l’allergie au blé qui confirmera le diagnostic.
Je dois vous mettre en garde sur l’emploi des mots. C’est très important.
Il est parfaitement incorrect et faux de dire que vous êtes allergique au gluten parce que vous êtes diagnostiqué(e) malade coeliaque ! (et inversement)
Autrement dit, la maladie coeliaque et l’allergie au gluten sont deux maladies différentes et indépendantes l’une de l’autre.
L’allergie au blé est encore plus rare que la maladie coeliaque.
Le mécanisme biologique de l’allergie au blé est typique d’une allergie alimentaire « classique » (comme par exemple l’oeuf ou l’arachide etc.).
Ce sont les protéines de blé (ou d’autres céréales) au sens large qui peuvent être impliquées. Cela peut être le gluten (qui est un complexe de protéines) ou bien d’autres protéines présentes dans les céréales.
Contrairement à la maladie coeliaque, en cas d’allergie au blé, il n’y a pas de réaction auto-immune.
Cependant, en cas d’allergie au blé, comme de maladie coeliaque, quelques traces de protéines suffisent à déclencher des réactions dramatiques pour la santé.
Avec la réaction auto-immune et la réaction d’allergie, nous avons fait le tour des deux grandes catégories de maladies reconnues par la médecine.
Mais a-t-on vraiment fait le tour des réponses à la question « pourquoi manger sans gluten ? »
Il reste des choses à dire…
3. Vous voulez résoudre des problèmes de santé
Pour cette 3ème bonne raison de manger sans gluten, prenons le problème sous un angle différent.
Vous souffrez de problèmes de santé sans lien direct avec le gluten à priori
Parmi les conditions cliniques concernées, on retrouve:
- Troubles digestifs
- Intolérances alimentaires
- Syndrome du colon irritable
- Maladie de Crohn
- Rectocolite hémorragique
- Troubles articulaires
- Spondylarthrite ankylosante
- Polyarthrite rhumatoïde
- Arthrose
- Troubles fibromyalgiques
- Fibromyalgie
- Troubles neurologiques et psychiatriques
- Schizophrénie
- Ataxie
- Neuropathie
- Epilepsie
- Migraine
- Dépression
- Autisme
- hyperactivité
- Troubles dermatologiques
- Acné
- Dermatite atopique
- Psoriasis
- Eczéma
etc., etc., etc.
La médecine refuse parfois de reconnaître les bienfaits d’un régime alimentaire sans gluten chez certains patients dans ces cas de figure. Les résultats sont variables et il manque parfois le lien direct avec des mécanismes clairs du gluten vis à vis des symptômes.
Evidemment, on n’arrête pas un traitement médical en cours pour manger sans gluten et penser résoudre tous ses problèmes…
Sans consensus thérapeutiques bien souvent la médecine conventionnelle ne s’explique pas les bienfaits d’un changement alimentaire sans gluten, et ne peut donc pas faire de généralisation, et moi non plus d’ailleurs…
Maladies chroniques
On parle de plus en plus d’un impact du gluten dans des cas de maladies chroniques.
Tous comptes faits, on constate que manger sans gluten aide parfois, même quand ce dernier n’est pas le facteur déclenchant de la maladie, qu’elle soit digestive, articulaire, neurologique, psychiatrique, dermatologique ou autre. Même si l’on se heurte généralement à la non-reconnaissance médicale du rôle du gluten en cas d’améliorations.
Des cas ont été rapportés qui incitent à vouloir améliorer la santé par un changement alimentaire vers le « sans gluten » même quand le problème de départ est sans lien direct avec le gluten.
4. Vous suivez le régime hypotoxique du Dr Seignalet
Cet argument fait le lien avec le 3ème point de cet article et constitue un moyen très concret et pragmatique d’améliorer votre santé !
Les travaux du Dr Seignalet ont montré de manière empirique qu’une alimentation bien choisie (sans gluten, sans lait, cuissons douces, etc.) permet des améliorations de santé dans de très nombreux cas de maladies, même dans des cas sans lien connus avec le gluten.
C’est ainsi qu’est né le « régime Seignalet » .
Cette approche de l’alimentation ouvre clairement la voie à une idée forte :
On peut massivement améliorer sa santé par l’alimentation.
Entre autres recommandations, ce régime alimentaire préconise l’arrêt du gluten. Peut-être faites-vous déjà partie de celles et ceux qui en tirent des bénéfices sur le plan de la santé !
Suivre ce régime alimentaire est évidemment une bonne raison de manger sans gluten !
Pourquoi manger sans gluten ?
Parce que vous pratiquez le régime Seignalet !
5. Vous voulez agir en prévention pour une santé durable
Après tout ce que j’ai déjà indiqué, vous vous dites peut-être que l’effet du gluten sur la santé n’est pas si anodin.
Alors plutôt que d’attendre de savoir par où le problème va arriver en premier chez vous, vous souhaitez faire l’effort de prévention pour une santé durable.
Comme on dit :
Mieux vaut prévenir que guérir !
Mais est-ce justifié de penser à manger sans gluten AVANT même que le moindre soucis de santé ne pointe le bout de son nez ?
Soyons clair : aujourd’hui il n’existe pas de consensus scientifique et médical quant aux bienfaits d’une alimentation sans gluten sur la prévention de la santé en l’absence de maladies liées au gluten.
Les principaux détracteurs d’une alimentation sans gluten et autres groupes de pression (Lobby agro-alimentaire etc.) vont même jusqu’à dire qu’un régime sans gluten appliqué « sans raison », ou sans suivi peut entraîner des carences nutritives.
Pardonnez mon impertinence, mais le docteur en biologie que je suis n’y crois pas vraiment…
Le pain avec gluten apporte des nutriments, vitamines, minéraux, fibres.
Certes.
Mais un pain sans gluten n’en fait-il pas de même et de manière parfaitement comparable ?
Quand on mange sans gluten, il existe des féculents qui apportent ce dont le corps a besoin.
En particulier, ces aliments sources de féculents ne sont pas des céréales à gluten :
- la pomme de terre
- le riz
- le quinoa
- le sarrasin
- la patate douce
Pas de consensus mais des pistes de mécanismes biologiques
Il existe des arguments scientifiques qui suggèrent des effets du gluten étonnants :
- le gluten est capable d’augmenter la perméabilité de l’intestin grêle, ce qui augmente le risque de développer des intolérances alimentaires
- Le gluten mal digéré génère des peptides présentant une activité pharmacologique de type opiacé (comme de la morphine), ce qui pourrait avoir un impact sur le comportement
La communauté médicale peine à le reconnaître, malgré l’existence de publications scientifiques sérieuses (j’en parlerai dans un prochain article sur le blog-sans-gluten.com).
Comment est-ce possible ?
Et bien, il faut souvent des années, et parfois même plus, après une découverte scientifique pour qu’elle soit adoptée. Et si la découverte ne fait pas l’unanimité, qu’elle dérange certains intérêts économiques, ou n’est pas facile à reproduire et valider, elle risque même de ne pas être prise en compte dans la pratique médicale.
Dans ce cas discutable, si vous décidez d’arrêter le gluten « en prévention », il faut sérieusement considérer l’impact social de ce choix, quels efforts pour quel résultat.
Peut-être qu’un objectif judicieux et réaliste sans être radical serait tout simplement de réduire l’apport en gluten et voir ce que cela apporte, plutôt que de vouloir manger sans gluten à tout prix, et sans raison médicale justifiée.
Et si le gluten n’était pas la clé de la prévention de votre santé ?
J’ajoute ici qu’avec la médiatisation de l’alimentation sans gluten, il devient facile de se convaincre que le problème qu’on a vient uniquement et exclusivement de là.
Etre en bonne santé est un équilibre précaire qui dépend de très nombreux facteurs. Dès lors, cette pensée linéaire qui consiste à ne voir que le gluten comme seule source de problèmes pour la santé serait une grosse erreur.
Paradoxalement, j’ai beau être l’auteur du blog-sans-gluten, je n’arrête pas de conseiller aux gens de viser en priorité les principes d’une alimentation-santé plutôt que de penser que le gluten serait l’unique racine de tous les maux, l’ennemi à combattre.
Étonnant ?
6. Vous suivez le régime paléo
Vous voulez recommencer à manger comme les hommes préhistoriques de l’ère paléolithique ?
Ce régime alimentaire (c’est même un vrai style de vie) revendique que l’agriculture, et les transformations majeures des produits alimentaires sont arrivés trop brutalement pour que notre corps et nos fonctions biologiques soient en mesure de s’adapter.
Ce régime préconise donc de revenir à une alimentation comparable à l’ère paléolithique pour que notre digestion soit plus en phase avec nos capacités biologiques.
Je précise qu’il n’y a pas de régime santé miracle et parfait. Ainsi, les choix faits par les adeptes de ce style de vie peuvent être discutés sur le plan de la santé durable.
Mais de manière très intéressante, je constate qu’à cette époque paléolithique, antérieure à la transition de l’Humanité vers l’agriculture, il n’y a pas de céréales, c’est-à-dire pas de gluten dans l’alimentation.
Donc si vous suivez le régime paléo, vous mangez forcément sans gluten.
Il reste quelques problèmes existentiels avec ce régime, comme par exemple de savoir où donc trouver du steak de Mammouth ?
J’ai même essayé d’en chasser sur internet sans succès, et Dieu sait qu’on y trouve pourtant tout, et surtout n’importe quoi… (Bien sûr, je plaisante !) Toutes mes amitiés aux adeptes du régime paléo 😉 qui me lisent ! (et aux mammouths aussi 😉 ).
A noter que des chercheurs ont trouvé un mammouth en chair et en os, congelé en Sibérie.
Sans commentaire.
Enfin, plus sérieusement voici ma 7ème réponse à la question « pourquoi manger sans gluten ? ».
7. Vous avez une hypersensibilité au gluten sans être coéliaque
Écartons un instant les deux raisons médicale majeures reconnues que sont la maladie coéliaque et l’allergie aux protéines de blé.
Ces situations cliniques sont bien définies médicalement et justifient parfaitement de manger sans gluten !
Le cas de figure le plus largement représenté dans la population concerne des personnes sensibles ou hypersensibles au gluten mais paradoxalement non-coéliaques et non-allergiques.
Il y a des chances que vous entriez dans cette catégorie largement sous-évaluée.
Très simple, prenons un exemple :
Vous présentez des troubles de santé, même légers, comme par exemple quelques difficultés digestives sans gravité (ou même d’autres symptômes plus marqués de type maux de tête, difficultés de sommeil, fatigue chronique, j’en passe, etc…).
Pourtant, il se trouve que les tests biologiques de diagnostic de la maladie coéliaque et de l’allergie au blé sont négatifs chez vous ! Un bilan de santé vous confirme que vous êtes censé(e) être en pleine forme, sauf que ça n’est pas le cas…
En bref, il n’y a pas d’analyses médicales qui permettent de diagnostiquer le moindre problème chez vous. Mais vous sentez que vous avez un problème, sans parvenir à mettre le doigt dessus. Dès lors, que faire ?
La recherche scientifique biomédicale ne comprend pas encore au juste quels mécanismes sont en jeu ni le lien avec certains symptômes et maladies.
Donc les médecins se demandent même si vous n’êtes pas un malade imaginaire ou éventuellement un hypocondriaque.
Une chose cependant, c’est que vous vous sentez peut-être mieux lorsque vous arrêtez de consommer des aliments contenant du gluten !
La présence de gluten dans l’alimentation pourrait bien provoquer des réactions qui impactent votre santé.
Aussi paradoxal que cela paraisse… Surtout aux yeux de votre médecin…
C’est pourquoi les rares médecins-chercheurs à l’avant-garde ont eu l’idée de créer une catégorie fourre-tout plutôt que d’ignorer ces patients : il s’agit de « l’hypersensibilité au gluten non coéliaque » .
Même sans aucun moyen de diagnostic ni aucun mécanisme d’action identifié.
L’idée est tellement géniale qu’en attendant de comprendre ce qui se passe sur le plan biologique et clinique, personne n’y comprend plus rien. Confusion absolue ! (En même temps, c’est toujours mieux que rien…)
Et finalement vous voila sur mon blog !
Pour conclure
Une chose est sûre, vous devez avant tout faire les tests reconnus médicalement, pour écarter (ou confirmer) les diagnostics de maladie coéliaque ou d’allergie au blé, impérativement AVANT d’arrêter de manger du gluten. Et ceci quel que soit votre bonne raison…
Sinon vous prenez le risque de passer à côté d’un diagnostic médical indispensable pour vous orienter vers les meilleures options de soin et de suivi pour ces maladies.
Par contre, que faire dans tous les autres cas évoqués dans cet article mais qui manquent de preuves catégoriques ?
A votre avis, pour décider de manger sans gluten, est-ce si important de comprendre :
- quel est le mécanisme de l’hypersensibilité au gluten non-coéliaque ?
- comment fonctionne le régime hypotoxique du Dr. Seignalet ?
- pourquoi un régime sans gluten (et sans lait) aide certains types d’autistes, de dépressifs ou de schizophrènes ?
N’est-ce pas plus essentiel d’aller mieux avant tout ?
Alors soyons pragmatique !
En attendant que la médecine conventionnelle et la science dissipent le brouillard, pourquoi ne pas manger sans gluten, si cela vous aide à vous sentir mieux ?
Au final, nous avons passé en revue 7 bonnes raisons de manger sans gluten:
- Vous avez la maladie coeliaque
- Vous avez une allergie aux protéines de blé ou de céréales
- Vous voulez résoudre des problèmes de santé
- Vous suivez le régime hypotoxique du Dr Seignalet
- Vous voulez agir en prévention pour une santé durable
- Vous suivez le régime paléo
- Vous avez une hypersensibilité au gluten sans être coeliaque
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- Avez-vous des symptômes digestifs ou autres ?
- Aimeriez-vous tester s’il y a chez vous un lien entre vos problèmes et des intolérances alimentaires (gluten ou autre) ?
- Voudriez-vous arrêter de vous laisser embrouiller par un trop-plein d’information pour vous recentrer sur ce qui peut réellement VOUS aider ?
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J’espère que mon article « Pourquoi manger sans gluten : 7 bonnes raisons » vous a plu.
Si vous pensez qu’il pourrait concerner une personne qui vous est chère ou une connaissance, je vous invite à partager le lien de cet article !
Et vous ?
Dites-moi dans les commentaires quelle est votre réponse à la question « pourquoi manger sans gluten ? « , et ce que cela vous a apporté sur le plan de la santé !!!
Bonjour,
En recherchant sur le net des infos sur l’asthme et le sans gluten, je suis tombée sur le votre 🙂 Bravo il est très intéressant!.
Pour ma par, j’ai démarré mon régime sans gluten depuis 1 mois et demi. Je l’avais déjà effectué durant 6 mois l’année dernière mais j’ai du l’arrêter car je n’étais pas parvenue à convaincre mon conjoint de s’y mettre et c’est lui qui cuisine donc vraiment pas pratique. Depuis, il a accepté de s’y mettre! 🙂 avec moi qui finalement ai décidé de m’y remettre durablement même sans lui.
Les premiers bénéfices sont :
– une énergie retrouvée ou multipliée (j’en avais déjà un peu)
– plus de ballonnement
– plus d’asthme!
– moins de ronflement
– moins de douleurs coté rhizarthrose (mais j’utilise aussi huile de gaulthérie donc je ne sais pas vraiment lequel des deux en est la raison).
Du côté de mon conjoint…. rien! Il me dit qu’il ne constate aucun effet, mais peut-être que son corps a besoin de plus de temps pour réagir! Il continu encore 1 mois.
Nous réalisons tous nos plats y compris le pain ou nous incorporons du petit épeautre, car :
♦ C’est une céréale qui n’a pas subie de manipulation génétique.
♦ Elle est tolérée par le régime du Dr Seignalet, à condition qu’elle ne soit pas cuite au-delà d’une température de 300°C.
♦ Gluten : même si elle n’est pas exempt de gluten, son taux de gluten est très faible : 7%, ce qui rend sa panification plus délicate que celles faites avec le blé.
De plus, il est de meilleur qualité que celui des blés actuels. Les personnes qui sont intolérantes au gluten l’assimilent donc relativement bien.
♦ Indice Glycémique : le petit épeautre aurait un IG de 40 (tandis que l’épeautre 45 – source).
Après plusieurs essais plus ou moins concluants, nous nous sommes arrêtés sur cette recette de pain évidemment entièrement bio et à l’eau filtrée :
100 gr de chacune de ces farines : petit epeautre, sarrazin, millet, manioc
7 gr de sel
50 gr de poudre d’amande
10 gr de mixte
400 gr d’eau tiède
1 sachet de levure de boulanger réhydratée avec un peu d;eau tiède
Mélanger le tout et laisser pousser. Cuire ensuite à 170 degrès pendant 45 minutes.
Dites moi ce que vous en pensez si vous la tentez.
Voilà pour mon expérience.
Au plaisir de vous lire,
mélanger le
J’ajoute que je ne suis pas intolérente ni allergique au gluten (en tout cas pas comme on l’entend habituellement. il s’agit juste d’une volonté de mieux me nourrir, mais de par les bénéfices constatés, on peut dire qu’une certaine intolérance existe tout de même!!!
Voilà plusieurs années que j’ai découvert que le gluten est la cause de certain des problèmes que j’avais !
Et donc que je n’ai plus car je fais bien attention de ne plus en consommer, même si c’est parfois un peu compliqué ! mais vu les douleurs évités ça vau le coup ! On évite de laisser traîner ses doigts sous le marteau quand on s’en sert, tous les bricoleurs savent cela ! Mais certain veulent quand même continuer à se taper sur les doigts « pour le plaisir » … en prenant quand même du gluten de temps en temps ! ! ! et se reflinguer les muqueuses pour quelques semaines !
J’ai retenté les produits laitiers récemment , j’en ai payé le prix sur plusieurs jours …
Bonjour Bertie,
Merci pour ce témoignage.
C’est toujours un plaisir de découvrir le parcours d’autres personnes qui voient leur santé s’améliorer grâce à un changement alimentaire vers le « sans gluten ».
Et… je suis aussi d’accord avec la métaphore du marteau pour le bricoleur. C’est tout à fait ça… Mais avec le gluten, il faut parfois se faire taper sur les doigts plusieurs fois et parfois pendant longtemps avant de se rendre compte, ou tout simplement d’admettre qu’il joue un rôle majeur dans les douleurs et soucis…
Amicalement,
Marc
Bonjour,
Votre article est très intéressant.
Dans la même idée que le régime paléo, j’essaie un maximum de suivre le régime du Docteur Peter James D’Adamo (en fonction de mon groupe sanguin, O). Peu de monde connaît et adhère à ce mode d’alimentation et je voulais avoir votre avis là-dessus si possible ?
Merci 🙂
Bonjour Patry,
Tout d’abord merci pour votre commentaire et votre intérêt pour ce sujet de l’alimentation et de la cuisine sans gluten, qui va au-delà des effets de mode et tendances !
Je n’ai pas d’avis arrêté sur la question des régimes spéciaux tels que les groupes sanguins, même s’il me semble avoir vu des articles scientifiques un peu contradictoires sur ce régime du Docteur Peter James D’Adamo.
Prenons le problème sous un angle différent.
Pour la discussion, partons de l’idée que vous avez des soucis de santé qui pourraient venir de vos habitudes, et en particulier des habitudes alimentaires qui sont les habitudes les plus ancrés et stables dans le temps. Pour vous soigner, soit vous prenez un traitement pharmaceutique/médicale (ou « miracle ») qui résoudra les symptômes mais pas les causes. L’autre approche consiste à accepter l’idée d’avoir pris des habitudes qui ont un rôle à jouer dans le soucis de santé et qu’une approche pragmatique et simple consiste à tout simplement changer afin d’obtenir un changement. Cela semble simple voire simpliste. Mais je crois beaucoup à cette idée selon laquelle la maladie est une invitation à changer. Maintenant, quoi changer et comment ?
Il y a quelque chose de très puissant dans le fait de changer et ce ne sont même pas les choix eux-meme mais le fait que vous allez bouleverser quelque chose dans votre corps qui était en train de vous faire prendre une mauvaise direction pour votre santé.
Si les changement que VOUS avez faits dans votre alimentation sur la base des principes des groupes sanguins, ou les principes paléo, ou les principes Seignalet, ou autre chose encore vous aide et vous apporte une amélioration c’est le plus important. Et j’aimerais avoir votre retour sur ce point de vue.
Enfin il reste la question de savoir quel serait le meilleur régime pour la santé. Je pense que la question reste ouverte. Il a plusieurs voies possibles pour une même personne, et en plus chacun est unique. Ce sera donc difficile d’apporter une réponse finale globale et valable pour tous.
Je reste très curieux de votre expérience à vous :
Est-ce que ce régime que vous avez décidé d’entreprendre vous a apporté des bénéfices ? et si oui lesquels ?
Amicalement,
Marc
Bonjour,
Notre petite Eva, 11 ans, vient d’être diagnostiquée coeliaque, suite à la biopsie réalisée ce 01/04/2016. Nous cherchions de l’asthme et nous avons trouvé la coeliaquie 🙂
Depuis 3 semaines, nous nous sommes mis mon mari et moi au régime sans gluten avec notre fille…pour la soutenir et pour des raisons pratiques au quotidien. On s’en sort bien 🙂
Bonjour Caroline,
Merci pour votre témoignage. J’imagine que ça n’est pas une super nouvelle de recevoir ce diagnostic de maladie coeliaque. Heureusement cela devrait permettre de voir des ameliorations et c’est peut être déjà le cas d’ailleurs. Je trouve très sympa de votre part de vous adapter à la situation en famille plutôt que de voir votre fille mise à l’écart lors des repas. Donc bravo pour vos efforts !
Bonne continuation puisque vous semblez arriver à bien gérer la situation d’après votre commentaire !
A bientôt,
Marc
bonsoir Marc.
Merci pour votre article qui nous aide à mieux comprendre les bienfaits du régime sans gluten. En effet je suis le régime depuis plus de 20 ans, et je vous dis que ce n’était pas facile, car en plus de la maladie coeliaque, d’autres maladies associées sont diagnostiquées : osteopenie, thyroidite auto-immune, anémie chronique car j’ai fais une allergie au fer par IV (oedeme de Quincke). Depuis je suis devenue allergique à beaucoup de produits alimentaires notamment ceux contenant du fer, acide folique. Je fais donc plusieurs régimes sans gluten, sans fer; sans fibres je suis à 4,5 HBG sans traitement sans transfusions mais sous corticoides solupred cp j’essaye de lutter en essayant d’avoir des conseils pour améliorer ma vie et surtout vaincre mon anémie. MERCI pour votre aide MARC et pour les conseils que vous pourriez me prodiguer. A Bientôt.
Bonjour Radia,
Désolé de lire tous ces problèmes de santé que vous rencontrez. Votre situation semble très particulière et associée à plusieurs éléments d’un tableau clinique lourd et complexe. Vous comprendrez que je ne peux pas donner de conseils d’ordre médical à la place du/des médecins qui suivent votre dossier. Ce que je peux par contre vous suggérer ce sont quelques recommandations de bon sens d’ordre général. Le premier point est de rester en contact étroit avec un allergologue pour bien diagnostiquer et encadrer vos allergies (alimentaires voire autres), et d’avoir toujours sur vous une dose d’adrénaline injectable en cas de déclenchement de réaction allergique (et de ne surtout pas hésiter à vous en servir au moindre signe de réaction allergique) ! J’ai rencontré récemment encore des allergologues qui disent qu’il n’y a aucun risque de procéder à une injection d’adrénaline même en absence de réaction allergique avérée. Ils disent qu’il est bien mieux d’injecter de l’adrénaline (même « pour rien ») quand on croit avoir un début d’anaphylaxie plutôt que de perdre du temps et voir une réaction d’anaphylaxie se déclencher et s’aggraver parce qu’on n’a pas injecté tout de suite d’adrénaline.
Cela, je pense que votre médecin a du vous le dire déjà, si ce n’est pas le cas, tournez-vous dès que possible vers un allergologue près de chez vous pour en parler.
Ensuite, je voudrais préciser qu’il serait problématique pour moi de donner des conseils spécifiques, en particulier à travers un commentaire ici (car il existe des contraintes légales et je ne peux tout simplement pas engager de responsabilité dans ce sens, et puis je ne peux pas prétendre connaitre votre dossier médical complet évidemment).
Voici, en tous cas ce que je peux commenter.
Il n’y a aucune preuve scientifiques ni médicales à ce stade que des changements alimentaires apporteraient des solutions à vos problèmes de santé, car il n’existe tout simplement pas de lien direct connu et validé scientifiquement à ce jour.
Ceci dit, avec un bon encadrement médical, il y aurait des pistes à explorer, mais toujours sous suivi médical strict. Par exemple, il faut toujours garder à l’esprit l’importance de la bonne santé et du bon fonctionnement des intestins et du système digestif. En cas de maladie coeliaque, certains considèrent que la muqueuse intestinale guérit toute seule avec le temps une fois un régime sans gluten strict mis en place, mais rien n’interdit de soigner et de régénérer la muqueuse intestinale de manière active, de maintenir/restaurer une flore intestinale saine et équilibrée, ou encore prendre en compte strictement toutes les allergies et intolérances alimentaires pour trouver une alimentation qui convienne, qui limite les risques de réactions immunitaires ou inflammatoires. Il convient aussi de faire très attention de ne pas s’exposer à des carences sur le long terme face à des régimes restrictifs.
Ceci sont des idées de pistes à discuter avec des professionnels de santé, mais en aucun cas des conseils ou des méthodes complètes à appliquer, dans votre cas, et/ou sans y avoir bien réfléchi auparavant.
Bien amicalement,
Marc
Bonjour, je souffre depuis des années de fourmillements, migraines, ballonnements, fasciculations, fatigue chronique, carences en fer. J’ai consulté un neurologue pour les fourmillements mais toujours pas de diagnostic à ce jour , mon médecin traitant me prescrit du fer tous les 3 mois. Mais tous mes symptômes n’ont pas trouvé d’explication.
J’ai décidé de suivre un régime sans gluten, je débute seulement, cela me semble assez difficile car cela chamboule vraiment mes habitudes alimentaires. Mais j’espère avoir trouvé la solution à mes problèmes.
Bonjour Juju,
Merci pour votre message.
La médecine nous a habitué à des améliorations radicales à coup de médicaments puissants (et leurs effets secondaires). On finirait presque par croire que guérir est devenu un événement.
« Je suis guéri »
Pourtant, souvent, retrouver une situation de bien-être demande du temps et de la persévérance, car c’est un processus. Et qui dit processus, sous-entend qu’il s’agit d’une succession d’étapes et d’épreuves qui se déroulent au fil du temps, et pas un événement soudain.
Pour être passé par là, comme beaucoup d’autres, je vous confirme que manger sans gluten est un grand chamboulement. Mais si vous n’essayez pas de faire l’effort de changer quelque chose, il y a peu de chance que votre situation évolue. Je vous encourage donc à poursuivre votre recherche d’un plus grand bien-être quotidien.
Et j’espère que mon site pourra vous aider à vous rapprocher un peu plus de vos objectifs.
Je suis de tout coeur avec vous.
Amicalement,
Marc
Bonjour,
Je suis passée au sans gluten car depuis presque un an, j’avais mauvaise haleine et des difficultés digestives (mon médecin traitant me disait qu’il s’agissait de reflux gastrique avec médicaments en conséquence – médicaments que je n’ai pas pris -). J’ai fait mon pain sans gluten (contrairement à vous, je ne mets pas de gommes de guar et autres mais du psyllium, des graines de lin et de chia) et privilégie la nourriture crue. Depuis, tout va bien !
Bonjour Sylvie,
Votre témoignage confirme une fois de plus que le fait d’opérer des changements dans l’alimentation peut avoir un impact bénéfique sur le bien-être !
Je suis très content pour vous que vous ayez pu éviter des médicaments qui n’étaient effectivement pas la solution à votre problème.
Pour le pain, j’utilise aussi les ingrédients que vous listez, mais pour rester simple pour quelqu’un qui débute (lin et chia il faut généralement les moudre soi-même, et il faut aussi gérer les proportions de ces 3 ingrédients, qui est une recette à part entière..), j’ai donc voulu une recette de pain avec peu d’ingrédients différents, généralement simples à trouver dans les rayons sans gluten des magasins bio.
Content de découvrir que la nourriture crue vous réussit bien !
Amicalement,
Marc
Bonjour,
Je m’intéresse depuis 2 mois aux « intolérances alimentaires » car l’analyse de sang que mon médecin a fini par me préscrire (hypersensibilté alimentaire type 3, mesure des igG) a révélé une sensibilité aux amandes, noisettes, graines de lin, petits pois, blancs d’oeufs, maïs, orange, blé, avoine, orge, levure de bière, en ordre décroissant et pour ne citer que les plus importantes.
J’avais des problèmes de digestion de plus en plus fréquents avec état légèrement nauséeux, mots de tête , grande fatigue et manque d’énergie, tant au niveau physique que moral.
Après 1 mois 1/2 d’éviction de ces aliments,je vais vraiment beaucoup mieux. Le fait de me sentir mieux m’aide à persévérer mais ce n’est pas facile !
Ayant l’habitude de cuisiner et de ne pas consommer d’aliments préparés, de ce côté là , c’est assez facile et on découvre d’autres aliments, c est le côté positif.Des blogs comme le votre aident à trouver des idées et des recettes. Mais je mets beaucoup de temps pour préparer mes petits déjeuner et faire du pain !
Par contre, dès qu’on doit manger à l’extérieur, quel casse tête ! Comment faire quand on voyage et qu’on est en demi pension dans des hotels ou gîte ?
Cet été, je dois partir 1 mois en randonnée itinérante en montagne et évidemment, je ne vais pas porter 1 mois de nourriture sur mon dos ! …
Bref, pour le moment, j’en suis à l’étape où je suis contente d’avoir retrouvé une meilleure santé mais aussi parfois décontenancée et même un peu démoralisée de devoir faire attention à tout ce que je mange et à tout ce que j’utilise pour cuisiner. Cuisiner et manger, c’est aussi partager et cette dimension me manque souvent.
Merci de partager votre expérience sur ce blog dont j’apprécie particulièrement le côté scientifique.
Bonjour Catherine,
Merci beaucoup pour votre témoignage, qui vient renforcer encore l’importance de l’alimentation face aux questions de santé et de bien-être !
Le fait de se sentir mieux est effectivement un vrai moteur pour garder le moral et poursuivre sur la lancée, même si ce n’est pas évident.
Je lis que Vous avez aussi l’habitude de cuisiner, et cela aide beaucoup, car il ne faut pas se faire d’illusions, cuisiner soi-même reste une des meilleures manières d’avoir le contrôle sur son assiette… Le prix à payer, c’est de devoir faire plus d’efforts d’organisation et de devoir subir des contraintes.
Voyager et sortir n’est pas une mince affaire non plus. Et j’aurais aimer pouvoir vous dire que les choses sont simples…
Tout dépend du nombre d’interdits et de l’intensité des réactions en cas d’écart…
Mais pour finir sur une note positive, sachez que vous pouvez très bien partager votre cuisine « sans », une fois quelques bases bien acquises, et quelques bons plats maîtrisés, la barrière est plus psychologique qu’autre chose.
Mon blog n’étant pas versé dans le « catastrophisme », vous pourriez même y trouver des petites phrases qui prêtent à sourire, et des vidéos un peu amusantes pour vous aider à garder le moral ! Il suffit parfois de peu !
Et puis la communauté autour du blog grandit aussi : vous n’êtes définitivement pas seule.
A bientôt Catherine !
Amicalement,
Marc
Bonjour
Voici mon histoire.Il y a 1an 1/2 j’ai commencé a avoir des douleurs atroces au ventre avec des ballonnements(on aurait dit que j’étais enceinte de 6-8 mois) j’avais aussi des problèmes d’estomac,brûlure+renvois jour et nuit sans interruption.On a rien trouvé dans la coloscopie,biopsie,prise de sang.
j’ai arrêté le gluten et le lactose ainsi que les épices
et certains aliments et depuis plus de douleurs.
Merci pour votre blog.Grace à vous j’ai remarqué que je n’étais pas la seule dans ce cas et que j’ai une sensibilité au gluten sans être coéliaque
Bonjour Isabelle,
Merci pour votre témoignage.
En effet, aussi fou que cela paraisse, vous n’êtes pas seule, loin de là !
Mon blog et l’intérêt qu’il génère confirme qu’il faut chercher ce qui ne va pas, même après avoir fait comme vous toutes les batteries de tests médicaux conventionnels (biopsie, coloscopie, prises de sang etc.) !
Ce qui est remarquable dans votre message c’est le fait que vous avez pu identifier le gluten, le lait, les épices et aussi d’autres aliments.
Bien souvent les gens s’arrêtent à la prise en compte du gluten et du lait et s’étonne d’aller à peine un peu mieux.
Alors bravo pour votre persévérance et votre recherche d’une vrai bien-être, qui commence par les bons choix dans son assiette !
Encore merci pour votre commentaire ici.
Au plaisir d’échanger encore au fil des publications du blog !
Amicalement,
Marc
Bonjour,
Tout d’abord, vraiment merci pour votre article dans lequel je me retrouve, au niveau du point 7.
Depuis toute petite, je vais rarement aux toilettes (tous les 3 jours). Et depuis presque un an et demi, je prends continuellement du poids, environ 16 kilos sur cette période. Je connais aussi des troubles du sommeil et parfois une fatigue vraiment continuelle. Je ne prends pas la pilule, et mon bilan hormonal et sanguin est bon. Je mange aussi de façon assez équilibrée et ne consomme que très rarement des produits laitiers car je les digère mal (je mets parfois plus d’une journée…). Bref, rien qui ne peut expliquer cette prise de poids.
Pour des raisons financières, j’ai complètement arrêté les produits laitiers et ce qui contient du gluten (sans le savoir au départ, je vidais les restes du congel) pendant deux semaines. Et pour la première fois en un an et demi, j’ai perdu un kilo et demi. Non pas que j’avais faim ou que je me privais, mais simplement car je n’avais pas les moyens d’acheter de la crème fraiche, du pain de mie…
Je me suis beaucoup questionnée sur la raison de cette perte, et je vais tester à nouveau le sans gluten et sans produits laitiers. Si je perds à nouveau du poids, j’aurais enfin trouvé d’où venait le problème…
En tout cas, merci à vous de vouloir admettre que parfois, les médecins ne poussent pas davantage à chercher une solution à des problèmes inexpliqués. On se sent un peu « fou » à force, ou « menteuse »…
Bonjour Pluuume,
Merci infiniment pour votre témoignage !
Parfois, lorsque la médecine ne parvient pas à mettre le doigt sur l’origine d’un ou plusieurs symptômes, il faut prendre le temps de tester et tâtonner. Ce serait vraiment dommage de ne pas explorer ou chercher de nouvelles pistes d’améliorations…
Les symptômes que vous évoquez (constipations, prise de poids, troubles du sommeil, fatigue, etc.) reviennent assez fréquemment parmi les lectrices et lecteurs du blog-sans-gluten.
Si vos expériences sans gluten et sans produits laitiers vous aident à avancer et progresser dans votre bien-être, je vous encourage évidemment à répéter l’effort, si le jeu en vaut la chandelle.
Non, vous n’êtes pas folle ni menteuse, et encore moins malade imaginaire !
Alors n’hésitez pas à revenir sur le blog pour partager votre expérience et votre vécu de ces changements d’alimentation et des bénéfices que vous y trouvez éventuellement. Beaucoup de gens s’y reconnaîtront, à n’en pas douter.
Au plaisir de vous lire encore,
Amicalement,
Marc
Bonjour,
Merci pour votre article fort intéressant et qui balaye bien l’ensemble des problématiques liées au gluten. Cependant vous omettez sauf erreur de ma part la fibromyalgie qui est elle aussi une maladie chronique certes peu reconnue. Je fais un régime sans gluten et sans lactose depuis 1 an déjà car j’ai le syndrome du colon irritable et de la fibromyalgie. C’est difficile au quotidien et même si le régime a permis aux crises de s’espacer et aux douleurs de s’atténuer, j’ai toujours des symptômes et les médecins, spécialisés dans ces domaines, me disent que j’ai tort de faire un régime en éviction total. Moi je sais que lorsque je mange quelque chose à base de gluten et de lactose je suis malade encore pire. Bref c’est plus calme mais mon colon ne fonctionne pas bien et personne ne trouve de solution. Voilà pour mon retour concernant votre article. Merci en tout cas de faire vivre ce blog. A bientôt.
Bonjour Béatrice !
Merci pour votre message.
Je trouve très raisonnable de commencer par écouter votre corps à travers vos expériences et votre vécu, surtout si cela vous apporte un soulagement de vos souffrances grâce à vos choix alimentaires…
Dans les précédents commentaires de cet article, Aurélie, Laure et Jo sont 3 lectrices qui m’avaient déjà fait part de leurs progrès notables vis à vis des symptômes de la fibromyalgie.
La liste serait bien longue s’il fallait mentionner toutes les maladies non liées au gluten strictement ou directement… Pourtant un régime sans gluten apporte souvent des bénéfices, comme c’est le cas de toutes les personnes qui choisissent par exemple d’opter pour un régime de type Seignalet.
Etant la 4ème personne à témoigner d’améliorations dans un contexte de fibromyalgie, je prends bonne note du fait que je ne mentionnais pas ce syndrome dans mon article.
L’omission est maintenant corrigée, et vous trouverez une mention de la fibromyalgie / troubles fibromyalgiques dans la partie 3 de l’article !
Merci pour votre témoignage et vos remarques très pertinentes et appréciables.
Au plaisir de vous lire encore.
Bonne continuation.
Marc
Il y a 2 ans maintenant que je ne mange plus de gluten ni de produits laitiers de vache les résultats sont bénéfiques à tous les niveaux, -15kgs sans vraiment le vouloir ce n’était pas mon but, plus d’énergie, l’esprit plus clair….bref que du bonheur …c’est vrai que cela prends de l’attention de supprimer le gluten mais il y a de plus en plus de restaurants, de lieux et de magasins qui proposent des alternatives. Perso j’ai choisi de ne pas remplacer un produit par un autre, par exemple du pain par du pain sans gluten, je préfère manger différemment
merci pour cet article.
Chère Cathy,
Merci pour ce commentaire ! Content de voir que tu as pu trouver plus d’énergie et que tu as remarqué cette tendance à avoir l’esprit plus clair. C’est une expérience que j’ai vécue moi aussi. Je ne pensais pas que l’alimentation puisse avoir autant d’impact sur certains symptômes apparemment sans lien avec la sphère digestive a priori. Et pourtant.
Même si les scientifiques peinent à nous expliquer le pourquoi de tout ceci, je trouve très troublant de voir l’ampleur de l’impact d’une alimentation plus réfléchie et plus saine sur le ressenti et le bien-être au quotidien !
En choisissant de ne pas chercher à remplacer tu te mets dans la position d’être ouverte et en mode découverte plutôt que de chercher à combler un vide. Cette attitude est plutôt rare et je te félicite vraiment pour ce cheminement qui ne peut que t’aider à en sortir grandie.
Merci encore Cathy d’avoir partagé ton vécu et ton ressenti sur ce vaste sujet.
Amicalement,
Marc
Bonjour,
Souffrant de sinusites depuis 4 ans, devenues chroniques, j’ai finalement identifié leur origine : la consommation de gluten et de produits laitiers. Je n’en consomme plus depuis 6 mois et depuis, plus aucune sinusite du jour au lendemain, et disparition des ballonnements en prime! Je me définis comme hypersensible non cœliaque. J’en ai parlé à mon médecin qui n’a pas relevé… En tout cas moi je revis Par contre c’est la galère dès qu’il s’agit de manger à l’extérieur, d’ailleurs j’ai quelques douleurs aux sinus qui se déclenchent après des repas que je n’ai pas préparé moi-même, notamment quand ma maman a fait revenir les haricots dans du beurre! Je me demande si je pourrai ré-intégrer un jour le goûté et le lait, même ponctuellement, ou si c’est un régime à vie. Je n’ai pas trouvé à ce jour de personne compétente pour me répondre…
Bonjour Clémentine,
Je me rend compte que je n’avais pas encore pris le temps de répondre à votre commentaire. Réparons cette erreur tout de suite !
Tout d’abord un grand merci pour votre témoignage qui vient malheureusement confirmer une fois de plus un fait simple.
Changer votre alimentation pour privilégier ce qui vous réussit, vous a permis de vous débarrasser de cette sinusite chronique. Je ne suis pas vraiment surpris que le gluten et le lait soient en cause.
Pour ce qui est de votre médecin, sa position est aujourd’hui encore la plus répandue, ce qui n’enlève rien à ses qualités de médecin et à l’apport de la médecine pour traiter des maladies et symptômes bien définis. Il faudra encore du temps pour que change la prise en compte de la sensibilité au gluten non coeliaque en routine médicale.
L’essentiel est que vous vous sentiez mieux.
Pour la question de la réintroduction du gluten et du lait, c’est une question sensible, qui dépend justement de votre sensibilité et du/des mécanisme(s) biologique(s) qui active vos symptômes et qu’on ne connait pas avec certitude aujourd’hui.
La réponse n’est donc pas simple, mais une chose est sûre c’est qu’il faut éviter les écarts pendant une longue période qui se compte souvent en mois voire années quand les symptômes sont marqués, avant d’envisager une éventuelle réintroduction ou l’idée de simplement faire des écarts qui ne se soldent pas par un retour des symptômes.
Tout cela dépend aussi des variations individuelles…
Il faut du temps pour soigner son intestin.
Et s’il y a une composante immunitaire qui active des réactions dans le corps, il y a aussi le potentiel d’une mémoire immunitaire qui pourrait demander longtemps avant de céder à l’oubli. Je schématise, mais chaque écart pourrait réactiver cette mémoire et remettre les compteurs à zéro, un peu comme un vaccin.
Mais il ne faut jamais dire jamais, et persévérer tout en restant patient.
En espérant vous avoir donné quelques éléments utiles.
Amicalement,
Marc
Bonsoir Marc,
Merci pour votre blog.
Je souffre de fibromyalgie depuis l’adolescence, d’un colon irritable,d’intolérance au lactose depuis l’enfance et je viens d’être diagnostiquée à 57 ans malade coeliaque.
Cela fait maintenant 15 jours que je mange sans gluten dont 8 jours de manière stricte.
Le seul bénéfice actuellement est que mes muqueuses nasales ne sont plus congestionnées (Allergies diverses, légères, pas toujours bien franches). D’un autre côté me voilà constipée depuis 6 jours avec bien sûr des douleurs au niveau des intestins.
J’attends avec impatience mon rendez-vous avec la diététicienne afin d’avoir un plan alimentaire adapté à mes intolérances et à la maladie coéliaque et surtout équilibré afin d’éviter toutes carences.
Bonsoir Jo,
Sincèrement désolé de découvrir tout ce parcours, qui vous a conduit jusqu’à ce diagnostic de maladie coeliaque, et finalement à mon blog aussi.
En tous cas, content de pouvoir faire ainsi votre connaissance.
Remplacer le gluten apporte rarement un effet miraculeux et immédiat. Je comprends très bien qu’il s’agit d’une grande remise en question de vos choix alimentaires. Avec les bonnes informations, la discipline et la persévérance vous allez progresser vers une meilleure santé et je vous souhaite tous résultats positifs que vous en attendez !!
L’angoisse du risque de carences en cas de régime sans gluten est tout à fait compréhensible, mais je vois que vous avez une bonne piste pour vous faire accompagner dans la bonne direction.
En espérant que cela ne vous empêche pas de venir me rendre visite malgré tout sur le blog-sans-gluten.com 😉 , ne serait-ce que pour donner quelques nouvelles, que j’espère bonnes 🙂 .
Bon courage !!
Amicalement
Marc
Bonjour, j’étais fibromyalgique, Lyme, métaux lourds, migraines à répétition, cancer du sein. Mes douleurs étaient traitées à la cortisone quand j’étais en crise, les migraines zomig oro. Quand j’ai eu mon cancer du sein j’ai trouvé que ça faisait beaucoup de problèmes en l’espace de 3 ans. La médecine allopathique soignait à peu près mes symptômes mais ça ne suffisait pas. J’ai donc après des heures de recherches sur internet tenté le régime sans gluten et sans lactose. Pour moi c’est un miracle : je marche à nouveau normalement, fais de la moto, du sport, je déborde d’énergie. Dès que je réintroduis le gluten les douleurs et les migraines reviennent. Je précise que mon cancer du sein a été soigné par allopathie. Cela fait 4 ans que je suis ce régime en essayant de réintroduire de temps en temps le gluten (sur les conseils de mon docteur) mais l’effet est toujours négatif. J’ai fait cette semaine un test d’intolérance alimentaire, j’attends le résultat. Bonne journée
Bonjour Laure,
Tout d’abord félicitation pour ces résultats si encourageants grâce à l’alimentation.
C’est une note d’espoir et un message fort pour toutes les personnes qui se retrouvent dans un cas similaire. Le fait que la réintroduction du gluten provoque des problèmes à chaque tentative montre bien la relation qui existe entre gluten et santé chez vous.
Je suis curieux de savoir pourquoi vous avez décidé de faire un test d’intolérance alimentaire si vous avez déjà identifié des ingrédients tels que gluten et lait. Est-ce que vous pensez devoir creuser plus loin ? Vous reste-t-il des symptômes même avec votre régime alimentaire spécifique ? Où bien y a-t-il encore d’autres raisons ?
En tous cas, bravo pour le chemin déjà parcouru !
Excellente continuation, et tenez-moi au courant du résultat de votre test d’intolérances alimentaires (espérons que cela n’apporte pas trop de confusion ni trop de restriction supplémentaires et que vous y trouviez des réponses satisfaisantes).
Amicalement,
Marc
Bonjour et merci pour votre réponse. J’ai fait le test alimentaire car je souffre du colon irritable et démangeaisons. De plus, je suis actuellement une chélation et le Docteur s’est aperçu que je n’assimilais pas les nutriments prescrits et que je n’éliminais pas les métaux lourds. J’ai donc arrêté la chélation, je fais un nettoyage du colon (sulfate de magnésium durée environ 3 semaines) puis un nettoyage du foie et je reprends la chélation. Je suis suivie par un médecin pour tout ça. D’après ce docteur, le cancer est dû à un excès de toxines.Il rejoint donc les propos du Docteur Seignalet dans les « maladies d’encrassement ».
Merci pour ces précisions Laure !
De mon expérience c’est vrai que les intolérances alimentaires peuvent effectivement se manifester par les symptômes que vous décrivez, même si le lien n’est pas toujours garanti, ni forcément direct…
J’ai eu des informations assez critiques contre la chélation, même encadrée par un médecin, car ce n’est pas une pratique qui suit un protocole reconnu médicalement et on m’a évoqué des risques d’exposition toxique, et un potentiel impact rénal non-négligeable sur le plus long terme, mais puisque vous êtes suivie par un médecin vous devez sûrement connaitre les avantages et inconvénients des différentes options.
Par prudence pour les autres personnes qui liront, je me permets donc de faire cette remarque ici, et j’ajoute que cette approche n’est ni reconnue, ni forcément adaptée à toutes les personnes dans un cas similaire (ou même différent).
Ceci dit, Laure, je vous souhaite le meilleur dans votre démarche, et n’hésitez pas à partager encore les prochaines évolutions, que je souhaite positives pour vous !
Amitiés,
Marc
Bonjour,
J’ai réalisé hier mon premier pain sans gluten, je chemine vers cette nouvelle façon de me nourrir et de me maintenir en santé. J’ai depuis plusieurs mois le syndrome du colon irritable et je veux trouver la solution sans passer par la case docteur… J’ai aussi supprimé le sucre et tout ce qui en contient sauf fruits et sucres lents. J’ai lu dernièrement le livre de Jean-Marie Magnien
(Pharmacien, biologiste, nutritionniste, nutrithérapeute
avec la participation du Dr Moncef Jemmali)
Réduire au silence
100 maladies
avec le régime
Seignalet que j’ai trouvé pertinent. Nous avons tellement de « croyances » sur la « bonne » alimentation… J’essaie d’écouter ma petite voix intérieure qui me guide vers les meilleurs choix pour moi. Merci pour votre blog que je découvre… 🙂
Bonjour Marie,
Merci pour votre commentaire, et merci beaucoup d’avoir partagé votre point de vue sur l’approche selon le régime hypotoxique du Dr. Seignalet.
Merci aussi d’avoir partagé cette ressource sur ce régime selon l’approche de Jean-Marie Magnien. Je ne l’ai pas encore lu, mais j’en prends bonne note.
Vous avez bien raison d’écouter votre petite voix intérieure, chose que j’ai persisté à ignorer durant des années et des années, et qui n’est certainement pas étranger à l’ampleur des problèmes auxquels j’ai du faire face ensuite…
Bon courage et bonne continuation dans votre démarche ! Il faut garder le cap et la motivation.
N’hésitez pas à revenir nous donner de vos nouvelles.
Amicalement,
Marc.
Bonjour,
Je ne suis pas cœliaque ni intolérante au gluten mais je présente des symptômes de colon irritable.
J’ai d’abord supprimé le gluten, j’ai constaté une légère amélioration mais pas satisfaisante.Après maintes recherches, j’ai ensuite testé le régime sans FODMAPS (Fermentescibles, oligosaccharides, disaccharides,monosaccharides and poliols) (voir « régime sans Fodmaps passeport santé » sur google) Ce test m’a surprise car j’ai découvert que j’étais intolérante aux oignons et aux tomates ainsi qu’au lait de vache (caséine et non lactose), chose confirmée par mon homéopathe.Je mange à nouveau du gluten de façon modérée et je fais mon pain à la farine d’épeautre bio(moins riche en gluten.)Je me sens mieux mais il n’est pas facile de cuisiner avec toutes ces restrictions ni de manger en société. Je voulais attirer l’attention sur le fait que les symptômes de colon irritable ne vont pas d’office de paire avec une intolérance au gluten, il existe d’autres allergies dites tardives facilement repérables en faisant le test du régime sans FODMAPS.
Bonjour Pervenche,
Tout d’abord merci pour votre contribution par ce commentaire très complet.
Il existe des résultats de recherches qui suggèrent que pour certains patients présentant un syndrome du colon irritable, un régime faible en FODMAPs suffirait à améliorer les symptômes. Comme vous le dites, le lien avec le gluten n’est pas systématique, mais le gluten par son action sur la perméabilité intestinale et les effets immunologiques et/ou inflammatoires contribue souvent à cette pathologie (un peu comme de jeter de l’huile sur le feu). Les céréales apportent aussi naturellement des FODMAPs, donc la séparation stricte entre FODMAPs et gluten ne peut pas exister…
Il y a dans votre message quelque chose d’intéressant aussi, et qui concerne les intolérances alimentaires autres que le gluten. Cela pourrait être lié aux FODMAPs, mais il faut peut-être distinguer une composante métabolique de la réaction d’intolérance alimentaire, et d’autres facteurs comme par exemple une réaction immunitaire à certains aliments. et tout cela pourrait intervenir dans le syndrome du colon irritable.
Le plus important est de rester à l’écoute de son corps et des signaux qu’il lance, puis de trouver des pistes et ressources pour aller mieux. C’est ce que vous avez visiblement réussi à faire. Alors félicitations pour le chemin déjà parcouru.
Excellente continuation, et au plaisir de lire vos futurs commentaires ici ou sur d’autres pages de ce blog !
Amicalement,
Marc
Bonjour,
Étant caeliaque depuis plus de 25 ans, j ai été abonnée à l’AFDIAG les premières années, puis j ai cessé. Cette association et leur travail sont très sérieux et je me pose la question de savoir quel serait l’intérêt aujourd’hui pour moi de me réabonner sachant que cela coûte plus d’une centaine D euros et que je crois bien connaître ma maladie ! et je me dis que la sécurité sociale’aurait fort intérêt à rembourser les cealiaques qui s’abonneraient. ..
Bravo pour votre blog Marc !
Chère Nathalie,
Merci beaucoup pour votre message ! L’AFDIAG est la référence en terme d’association d’aide aux malades coéliaques en France. Cependant les autres cas de figures dont je parle dans cet article ne sont pas pris en compte du tout par les associations d’aide aux coeliaques…
J’espère que le fait de mettre en valeur tout un ensemble de situations où le gluten se trouve avoir un impact sur la vie et la santé des gens, aidera les lecteurs du blog à voir autrement et aller plus loin. Je comprends votre scepticisme vis à vis de l’AFDIAG, vu votre expérience de la maladie !.
En même temps, je suis très touché par votre compliment à propos de mon blog. Cela me laisse penser que malgré vos 25 ans d’expérience sans gluten, le contenu de mon blog parvient à trouver un intérêt à vos yeux !
Merci Nathalie !
Au plaisir de vous lire,
Amicalement,
Marc
Bonjour,
J’ai découvert votre site hier. Je le trouve très bien fait. Alors moi, je mange sans gluten et sans lait car je suis le régime hypotoxique du dr seignalet ayant été diagnostiquée Fibromyalgique. Cela fait un mois et je n’ai plus de douleurs, reste encore quelques fourmillements. Le fait de manger sans gluten et sans lait, ne m’a apporté que du bienfait pour le moment. Pas seulement sur mes douleurs de fibro mais, ma peau est plus belle beaucoup moins sèche, j’avais toujours froid, ce n’est plus le cas, j’ai une énergie débordante. Mes maux de têtes ont disparu. Terminée la constipation enfin bref que du bonheur et pour rien au monde, je reviendrais en arrière. Je préfère manger sans pain et sans crème et trouver d’autres alternatives, plutôt que d’avoir mal. Manger mieux pour vivre mieux. J’ai crée un blog http://aurelienaturelle.canalblog.com/ et si vous voulez le partager avec vos internautes, vous pouvez, c’est votre choix mais peut etre que cela pourra aider également d’autres personnes fibromyalgiques et qui ne connaissent pas du tout le régime hypotoxique. Je vais continuer à suivre votre blog. Merci encore. Bonne journée. Aurélie
Bonjour Aurélie,
Merci d’avoir pris le temps de laisser votre témoignage ici !
Félicitation pour votre changement alimentaire et pour les conséquences positives qu’il semble vous apporter. Merci d’apporter votre contribution à cette page en évoquant le régime hypotoxique ! Et puis la question de la fibromyalgie est aussi un sujet délicat, à commencer par les difficultés de reconnaissance de la maladie. Ensuite, c’est vrai qu’on ne parle pas de changement alimentaire comme ressource thérapeutique dans ce cas, alors qu’il existe visible des résultats très encourageants ! Merci pour cet impressionnant témoignage et bravo pour tout le chemin déjà parcouru !
Merci aussi d’avoir partagé le lien vers votre blog.
Bonne continuation vers une meilleure santé par l’alimentation à vous et à votre fils !
Amicalement,
Marc
Bonjour Marc,
Merci pour votre article vraiment très intéressant.
Mon histoire assez banale en somme, des années et des années à se sentir ballonnée, lourde, fatiguée avec une prise de poids inexorable au fil du temps… et un jour à force d’en entendre parler je me suis dis et si c’était le gluten … après avoir consulté je me suis entendu dire que je n’étais certainement pas allergique et que le sans gluten était une mode… Je ne suis pas allergique c’est sûr mais intolérante j’en suis certaine et c’est là que les choses se compliquent parce que sournoisement pendant des années les symptômes s’installent doucement. Je sais que je suis intolérante parce que j’ai supprimé le gluten et que je me sens mieux, allégée avec plus d’énergie et les kilos diminuent quand je « craque » parfois, mon corps réagit assez rapidement comme j’ai cité plus haut en quelques jours.
Je pense à toutes ces personnes qui ne savent qu’elles sont justes intolérantes et qui ne sont pas bien sans savoir réellement pourquoi !
Cordialement
Bonjour Sylvie,
Merci beaucoup pour votre témoignage ici !
Votre description de l’évolution sournoise des symptômes avec le temps reflète bien ce que beaucoup d’autre personnes vivent (ou ont vécu). Et je pense moi aussi à toutes ces personnes qui ne se sentent pas bien et ne savent pas pourquoi ! Il suffit généralement de réduire ou supprimer le gluten de son alimentation pour quelques semaines (et parfois même moins que cela suffit déjà à comprendre s’il joue un rôle).
Il y a aussi un moyen simple c’est de partager cet article autour de vous puisqu’il essaye d’expliquer le mieux possible les cas de figures les plus fréquents !!
J’espère enfin que mon blog vous apporte satisfaction malgré les contraintes et les efforts de changements alimentaires qui accompagnent la prise de conscience de ces difficultés !
Amicalement,
Marc
Bonjour Marc,
Cet article commençait assez mal avec les habituels points 1 et 2 qu’on nous sert partout en médecine ‘conventionnelle’, relayés par les médias 😉 La suite m’a beaucoup plus intéressé, concerné par le point 7, et tout à fait d’accord avec ta phrase : N’est-ce pas plus essentiel d’aller mieux avant tout ?
J’ai écrit un article il y’a quelques temps sur le sujet : http://guillaume-yoga.fr/2015/05/sans-gluten-intolerance-sensibilite/
Au plaisir de te lire
Amicalement
Toutes les raisons sont résumées et je me reconnais tellement dans certaines !
Voici mon histoire : Il y a environ 4 ans j’ai commencé à souffrir affreusement des pieds et des jambes, au point au bout d’un moment de ne plus pouvoir marcher normalement et d’avoir besoin d’aide pour me remettre debout (j’avais 53 ans !). Mon médecin m’a dit « c’est chronique » et m’a prescrit de la cortisone !
Mon rhumato et ma micro-kiné m’ont tous les deux conseillé d’arrêter le gluten, et de limiter les produits avec base la vache (lait, fromages, viande).
Et là en quelques semaines j’ai remarché normalement.Et mes douleurs aux pieds ont quasi disparues.
Dès que je fais des écarts importants en matière de gluten (pizzas, hamburgers, tartes, brioche, viennoiseries et ce, plus de deux fois dans une même journée) mon corps me rappelle les « règles » ce qui tenterait à prouver que le gluten pour moi ce n’est pas recommandé.
Mais je tiens à dire que ma vie est loin d’être un enfer ! on se passe très bien de gluten dans les aliments !
Toutefois, pour ceux qui voudrait croire le précepte « manger sans gluten fait maigrir » je réponds « non, pas du tout » ! manger sain et en moins grande quantité, oui, sans doute, mais le gluten n’y est pour rien du tout !
Je remercie mes deux médecins rhumato et micro-kiné qui m’ont « sauvé » la vie !
Bonjour Catherine,
Merci beaucoup pour ton témoignage.
Les médecins optent rapidement pour des protocoles de soins standards, et se résignent devant le caractère chronique des symptômes ou de la maladie. Mais au-delà de cela, je note que c’est la combinaison gluten et lait, que tu as trouvé une voie de guérison.
En effet, merci aux médecins ouverts d’esprit qui ont su d’orienter vers la piste qui t’a « sauvée » !
Je voudrais revenir sur un point que tu as très bien exprimé : tu parle de produits à base de vache plutôt que de produits laitiers, et tu as raison à 200%. Si le problème vient d’une réaction aux protéines de lait de vache, pourquoi les protéines de vache (donc la viande) ne seraient pas elles-aussi susceptibles d’être impliquées ?
Cela soulève l’idée que le gluten ne doit pas être diabolisé comme le seul point de focalisation des problèmes (mais c’est bien l’un des éléments de l’équation !).
Enfin, quand le jeu en vaut la chandelle, comme on dit, l’ampleur de l’effort n’est rien face à l’étendue des bénéfices. Félicitations pour ta détermination à croire en alimentation comme source de bienfaits pour la santé.
Merci encore, pour ta gentillesse de partager ton témoignage avec nous ici !
Amicalement,
Marc
Bonjour Marc,
Super article où chacun peut se retrouver et mieux comprendre sa relation avec le gluten !
Pour ma part je suis dans le cas des sensibles au gluten non cœliaque car les tests sont négatifs à la maladie cœliaque (biopsie) mais cela faisait déjà un an que je mangeais sans gluten…Je relate d’ailleurs mon parcours dans mon blog ici : http://www.bien-manger-sans-gluten.fr/2014/10/ma-sensibilite-au-gluten-des-premiers.html. Si cela peut aider à renforcer le fait que nous ne sommes pas des hypocondriaques mais bien des personnes qui ont su agir afin d’améliorer leur santé au quotidien juste en évitant une protéine qui est le gluten…
A bientôt Marc.
Bonjour Sandrine,
Merci pour ton commentaire et tes efforts pour partager ton témoignage !
C’est vrai que chaque parcours médical qui ne rentre pas dans les cases prédéfinies des méthodes de diagnostic actuelles me laisse un peu perplexe. JE sais que ça a été ton cas aussi. Espérons que la science progressera suffisamment (et rapidement) pour éviter aux gens de rester sur une interrogation au terme de leur parcours de diagnostic. Car toi et moi partageons cette désagréable expérience !
Au plaisir de te lire !
Marc
Bonjour Marc,
Merci beaucoup pour cet article très intéressant et clair. Enfin quelqu’un qui connait bien la différence entre la maladie coeliaque, l’allergie, la sensibilité, etc..
Il y a 2,5 ans, on a découvert la maladie coeliaque chez mon compagnon. On habitait encore aux Pays-Bas (en venant de la Belgique), et j’ai trouvé pas mal de livres de recettes sans gluten, mais elles ne me plaisaient pas vraiment, car trop sec, pas assez moelleux, trop de sucre, trop de lait. Mais bon, je faisais des muffins et des cookies sans gluten, je m’entrainais au moins.
Puis, grâce au déménagement en France il y a 2 ans, j’ai découvert un blog d’une dame qui cuisine sans gluten (le blog me plait beaucoup) et aujourd’hui, grâce à votre article que vous avez posté sur FB, je viens de découvert votre blog! Je suis vraiment ravie, parce que pas tout le monde a compris la différence entre intolérance et allergie, et même sur la page FB de ‘maladie coeliaque, intolérance au gluten’ il y a des gens qui ne connaissent pas la différence, donc je viens de partager votre article 🙂
Moi, je ne suis pas coeliaque, mais je crois être sensible. Et grâce à mon compagnon, j’ai aussi arrêté de manger des gluten. On a découvert un tout autre monde de nourriture: le teff, l’amarante, le quinoa, le sarrasin, etc.. Au début, on a acheté pas mal de choses de la marque Schär, mais on a arrêté de le faire, parce que trop gras, pas moelloeux, trop doux, trop de sucre, etc.. Donc ce que je fais depuis 2 ans est de faire presque tout moi-même: cookies, cake, muffins, pains, gâteaux, car on veut manger des choses saines, pas industrielles, donc pas raffinées, pas de matières gras hydrogénés, etc.. Que de bonnes choses saines.
Je n’ai pas encore regardé vos recettes, mais j’espère en trouver mon bonheur 🙂 .
Merci beaucoup,
Cordialement,
Meriel
Bonjour Meriel
Et tout d’abord merci pour votre chaleureux message et vos compliments. Ce serait dommage de garder pour moi ce que j’apprend au fur et à mesure, je trouve donc normal de partager avec le plus grand nombre. Merci de m’en avoir donné l’occasion à travers Facebook !
Désolé que la maladie coéliaque soit entrée dans votre famille ! C’est peut-être un mal pour un bien. Au-delà du choix de manger sans gluten par prévention pour la santé, je n’ai pas parlé du choix par amour et par solidarité !
C’est vrai que cuisiner tout en double est un tel casse-tête que nous avons basculé sur les mêmes plats pour tout le monde à la maison. Et on ne s’en porte pas plus mal !
Tout cuisiner soi-même est une discipline difficile par les temps qui courent. Mais les « anciens » n’achetaient pas de barquettes toutes prêtes, puisque ça n’existait pas… La facilité du monde moderne n’apporte pas que du bon pour la santé. Je suis d’accord aussi que l’agro-alimentaire sans gluten abuse de certains ingrédients aussi mauvais pour la santé que le gluten quand il n’est pas supporté. Il y ad’ailleurs une publication scientifique que dit que les produits raffinés industriels sans gluten consommés trop souvent font conclure que le régime sans gluten pourrait même empirer la santé à cause de ces produits dont vous parlé graisses hydrogénées etc…
Encore merci pour votre commentaire !
Amicalement,
Marc
Moi cela fait quelques mois que j’ai adopté ce régime car cela provoqué de l’eczéma un peu partout sur le corps (plus sur le visage). Je suis d’abord passée par un médecin généraliste qui m’a prescrit un shampoing pour soigner ma dermatite et qui m’a conseillé d’aller voir un dermatologue mais manque de chance aucun n’était disponible rapidement (surtout que la dermatite présente sur mon cuir chevelu provoquait de grosse démangeaison). Ne voulant et ne pouvant pas attendre 6 mois pour savoir pourquoi j’avais de l’eczéma sur le visage, j’ai pris rdv chez un homéopathe qui a tout de suite mis le doigt sur le problème alors que le dermatologue m’aurait juste donné de la cortisone. Résultat : plus de gluten, plus de lactose, et plus de sucre hormis le sucre roux de canne bio. Changer d’alimentation du jour au lendemain n’est jamais facile mais je ne regrette rien. le fait d’avoir changé mon alimentation a permis à ma peau à se régénérer. Mes intestins étaient malades et pour me le faire comprendre, l’eczéma est apparu. Courage à ceux qui sont comme moi mais en même temps je vous dis bravo car lutter contre le gluten et le lactose c’est lutter contre l’alimentation qui n’est pas adaptée pour notre corps et on sait tous que ce n’est pas facile tous les jours de trouver dans les rayons quelque chose qui est adapté à notre régime.
Le plus étrange reste ma première que j’ai eu liée à mon appareil dentaire où j’ai eu de très grosses plaques sur les bras, le visage et je me grattais jusqu’au sang. Après être passée par plusieurs spécialistes (médecin, dermatologue, magnétiseur) je suis allée voir un homéopathe qui a voulu me faire arrêter la consommation de lait. Les effets du changement étaient là mais les effets du nickel de mon appareil dentaire aussi … était-il possible d’avoir eu 2 allergies en même temps? Cependant, lorsque j’ai retiré l’appareil tout à disparu du jour au lendemain comme par magie. Et je pense sérieusement adopter un régime identique à mes futurs enfants (encore jeune pour le moment :D) pour éviter ce genre de problème. Merci à vous d’avoir partagé votre article sur le groupe Facebook que j’ai, car cela m’a permis de me situer un peu plus parmi les nombreuses maladies qui existent.
Chère Florine,
Merci beaucoup pour votre passage ici et votre témoignage incroyable des effets de l’alimentation (et notamment du gluten) sur la peau, qui rejoint bien ce dont parle l’article aussi. Ma fille avait aussi des soucis d’eczéma très importants depuis la naissance et pour plus d’un an, avant qu’on bascule sur une nouvelle alimentation sans gluten et sans lait. Nous sommes passé de plaques rouges et de grattages jusqu’au sang qui faisait grande tristesse, à presque plus rien dès les premiers 3 jours sans gluten sans lait. Et depuis la situation est presque parfaite (quelques très légers signes parfois mais sans comparaison avec avant).
Pour ce qui est des métaux dans la bouche je connais bien aussi (malheureusement), c’est en grande partie à cela que je dois mes 56 aliments sur liste noire pour cause d’intolérances alimentaires !
J’ai eu des commentaires sur les réseaux sociaux disant que certains pourraient trouver bien plus de 7 bonnes raisons de manger sans gluten, j’espère que cet article dresse déjà un panorama assez exhaustif.
Merci d’avoir rendu ce post si vivant par votre témoignage !
Amicalement,
Marc
Bonsoir, je mange sans gluten car le blé dénaturé et modifié depuis l’origine me cause en tant qu’allergique aux pollens des réactions importantes au niveau ORL. Et puis on sait que le gluten est la colle donc pour ça aussi. Par contre pour supprimer la levure de bière qui est fait de l’orge c’est dommage il n y a pas d’alternative. merci pour ce joli blog et bonne continuation.
Bonjour Nada,
Merci pour votre message et votre intérêt pour mon site !
Très intéressant de partager avec nous cette réaction allergique croisée entre le pollen et le gluten dans l’alimentation. Donc si je comprends bien, manger sans gluten aide à calmer ou faire disparaître les symptômes ORL ? Avez-vous eu du mal à faire le lien entre vos allergie et le gluten ? (J’imagine que ce n’est pas la première chose à laquelle on pense.)
Pour la levure de bière, c’est vrai qu’elle est souvent cultivée sur un substrat à base d’orge donc contenant du gluten.
Mais heureusement il existe des références de levure pour la boulangerie qui sont sans gluten (rayon sans gluten des magasin bio, ou en boutiques sans gluten sur internet).
Si ça ne passe pas chez vous même en version sans gluten, peut-être la levure fait partie des ingrédients qui provoquent des réactions chez vous ?
Merci beaucoup Nada d’avoir pris le temps de venir parler de votre situation ici !
Amicalement,
Marc
Bonsoir,
Toute ma famille est atteinte de la maladie de lyme donc le médecin préconise une éviction du gluten, des produits laitiers et du sucre. Pas évident au début mais maintenant je suis une pro de cette cuisine saine.
Je me suis même lancée dans la commercialisation d’un pain bio sans gluten (voir mon site sur marianne pain bio sans gluten) car c’est le seul pain sans gluten que j’ai trouvé bon.
Bonjour Marianne,
Merci beaucoup pour votre témoignage. La maladie de Lyme est un cas très particulier. J’ai tout de suite supposé que vous vivez dans l’Est de la France, surtout si toute votre famille est concernée par cette maladie ! (J’en suis désolé pour vous).
J’ai trouvé votre site je suis allé le visiter. N’hésitez pas à indiquer le lien pour ceux que cela intéresserait, voici : http://www.painbiosansgluten.fr/. J’ai donc confirmé mon hypothèse en voyant que vous êtes située dans le Bas-Rhin ! Je suis d’ailleurs moi aussi alsacien (haut-rhinois expatrié en Haute-Savoie).
Très intéressant de savoir que votre médecin a suggéré de manger sans gluten, sans lait et sans sucre ! Je suis très curieux d’en savoir plus. En retirez-vous les bénéfices que vous attendiez malgré l’effort et peut-être les sacrifices que cela demande ?
En voyant vos vidéos je me dis que l’ambiance doit être bonne, avec les enfants qui chantent pendant que vous coupez votre joli pain, très charmant ! J’ai une petite fille de 3 ans et l’ambiance chez nous est très comparable à la vôtre ! Je ne taquine pas, je me suis vraiment cru chez moi !
Amicalement,
Marc
Bonjour,
Je suis également atteinte de la maladie de Lyme, sous sa forme chronique (pourtant je ne vis pas du tout dans l’Est de la France, il faut savoir que cette maladie est de plus en plus répandue, partout, et difficile à diagnostiquer!) J’ai eu un très long et très lourd traitement qui a supprimé bon nombre de mes symptômes, mais les douleurs et la fatigue restaient quand même très présentes. Mon médecin m’a donc conseillé une alimentation sans gluten, sans lactose et sans sucre raffiné. J’ai eu beaucoup de mal au début à savoir quoi cuisiner, mais aujourd’hui je peux me lever, marcher, mon organisme est plus résistant, je suis moins fatiguée et moins malade. J’ai vraiment vu la différence 🙂
Bonjour,
Je lis toujours avec beaucoup d’intérêt les publications de votre blog. Je fais attention à ce que je mange, je ne pense pas être intolérante au gluten mais, parfois, je me dis que « en prévention » je pourrais adopter une alimentation sans…
Mais, comme vous le soulignez, il faut sérieusement considérer l’impact social de ce choix.
Je privilégie donc aujourd’hui la réduction du gluten dans mon alimentation.
En effet, je ne peux pas « imposer » à mon entourage un régime qu’il n’a pas choisi. Même si je peux argumenter mes choix, ceux-ci ne sont pas forcément les leurs.
De même, lorsque je suis invitée, il me semblerait déplacé de refuser un plat sans raison « valable ». On peut bien sûr discuter de ce qu’on entend par « raison valable ». Une autre fois peut-être…
J’ai acheté le livre de Ch. Bonnefont et J. Venesson : « l’assiette paléo » qui à la FNAC se trouve au rayon sport. Je dois dire que j’y trouve des idées de recettes très intéressantes.
Bonne continuation et merci de nous faire partager vos réflexions et connaissances.
Bonjour Elise,
Tout d’abord un très grand merci pour votre message.
Vous avez vu que j’ai réservé une place pour votre cas de figure dans mon article.
Chaque nouveau commentaire me rempli de joie, car je peux ainsi confirmer ce que l’article a mis en avant ! Et dans le cas de la prévention de santé, il n’y a que la contrainte que vous choisissez de vous imposer, car un écart ne doit visiblement pas avoir d’impact sur votre santé.
Votre cas est certainement un des plus intéressants car je suis convaincu (peut-être ai-je tort) que les personnes qui font des choix de changement alimentaire sans gluten en prévention sont très rares.
Le commun des mortels, moi y compris, attend d’avoir des problèmes, et même de gros problèmes (c’est encore mon cas), avant de se pencher sur les options pour les résoudre.
Donc félicitation pour votre force, votre détermination, et aussi pour votre respect des autres et leurs convictions vis à vis de la cuisine sans gluten.
Je connais 2 autres livres de Julien Venesson, dont le fameux « Gluten, comment le blé moderne nous intoxique ». Il est très versé dans la nutrition pour sportifs et le régime paléo. Ce que j’aime particulièrement c’est le courage qu’il a eu de publier son livre sur le gluten, bien documenté mais qui doit déplaire à certains groupes de pression…
Encore merci pour votre fidélité au blog et pour votre intérêt.
Amicalement,
Marc
Bonjour,
Moi c’est mon ado qui evite le gluten pour soigner son acné
Depuis 2ans, il essaie de se passer du gluten! son acné s’en porte beaucoup mieux !
Bon moi la maman, c’est souvent un casse-tête pour les repas mais il y a toujours une solution
Mon mari est italien et nous sommes étonné du nombres de produits sans gluten provenant d’Italie.
Par contre, je me suis mise a lui faite du pain car de ce côté là, c’est pas la joie…
Chère Gafette,
Merci pour votre commentaire !
Ce qui m’impressionne avec un témoignage comme le vôtre c’est que votre vécu de la cuisine sans gluten et son impact sur la santé correspond aux informations que j’ai pu rassembler dans l’article. C’est un magnifique exemple très concret qui vient confirmer des idées un peu théorique et parfois abstraites.
Avec votre expérience, d’autres lectrices et lecteurs s’y retrouveront aussi.
Ma compagne est italienne (Puglia). C’est vrai que l’Italie fabrique beaucoup de produits sans gluten qu’on retrouve même dans les boutiques bio en France. Par pure curiosité, pourrais-je savoir d’où est originaire votre mari exactement ?
Le pain reste un point sensible, je sais bien. Il y a de plus en plus de boulangeries sans gluten qui fleurissent les derniers temps, même en province et dans les campagnes (pas encore à côté de chez moi pourtant…). En attendant il faut retrousser les manches et tester !
Encore merci Gafette pour votre message, et à très vite sur le blog !
Amicalement,
Marc
Marc,
Mon mari est originaire de Naples (Capua).
Ce qui me frappe avec le fait qu’il y a beaucoup de produits sans gluten produit en Italie… c’est que les italiens consomment beaucoup de pâtes…
Étonnant quand même non?
Bonjour Gafette,
Pas si étonnant si on y réfléchit bien. Puisque les pâtes et pizze sont tellement incontournables. Tou repas italien « typique » commence par des pâtes, du coup le problème pour les coéliaques devient vite catastrophique. Je pense qu’ils ont compris plus vite qu’ailleurs, et ils ont été obligés de réagir plus vite que chez nous sous la plus grande pression de la demande (à mon avis).
Ah ! Le sud d’Italie ! Naples, les vraies origines de la pizza (je connais mieux le côté adriatique, il faudrait voir l’état des lieux du « sans gluten » là bas). Mes amitiés à votre mari !
Et à bientôt sur le blog !
Marc
Effectivement, j’aurais plutôt dû marquer ‘cqfd’ !
C’est vrai que le sans gluten italien est (me semble-t-il) plus du côté du Nord.
Ciao à votre femme.
Merci pour votre super blog!
Dans ce cas, merci d’être une super-lectrice du blog !
A très vite,
Marc
J’ai arrêté le gluten et les produits laitiers il y a 1 an 1/2 suite à des soucis digestifs. Etant donné que j’ai la maladie d’Hashimoto il est aussi recommandé d’arrêter gluten et produits laitiers.
Bonjour Vero !
Merci pour ton passage ici et pour ton message.
Je n’ai pas parlé des produits laitiers, mais il y aurait de quoi dire …
Je vois que toi aussi tu es passée par des soucis digestifs. Est-ce que ton choix d’un régime sans gluten et sans lait a suffit a les résoudre completement ?
Je suis en train d’achever une formation en nutrition santé où l’on avait abordé, entre autre, le fait que la Thyroïdite d’Hashimoto est généralement très résistante à un régime alimentaire de type Seignalet et que très peu d’améliorations sont à prévoir à priori.
Je suis convaincu qu’une bonne piste serait de combiner la maîtrise des intolérances alimentaires sur un terrain individuel (et pas uniquement gluten et lait), et l’application des principes du régime Seignalet « classique » pour peut-être voir une vraie amélioration dans les cas de maladies où ce régime alimentaire ne donne pas de vrais bénéfices nets.
Qu’en penses-tu ?
Après, je sais bien que chaque cas est unique et qu’on ne peut pas si facilement tirer des généralités comme ça. Mais je me dis que ça ne fait pas de mal d’ouvrir la discussion !
Amicalement,
Marc
Très bon article, clair et complet.
J’adhère totalement à tout ce que vous dites.
Je pense être sensible au gluten, ayant des problèmes digestifs,de peau, de fatigue chronique,de douleurs musculaires dans tous les membres, j’ai finalement décider il y a 4 ans de faire un régime sans gluten et me sens beaucoup mieux et j’ai retrouvé une énergie que j’avais perdue. Evidemment, je n’ai pas été diagnostiquée positive au gluten à la prise de sang. Le fait est que je me sens bien mieux quand je ne mange pas de gluten, je n’éprouve pas le besoin de faire d’autres tests pour être convaincue que le gluten nuit à ma santé.
Notre nourriture fait notre santé.
Bonne journée.
Bonjour Annsophie,
Je suis très heureux de voir que vous vous retrouvez dans cet article.
Ce que vous dites est très juste et souligne un point essentiel. Le plus important n’est peut-être pas le diagnostic médical (ou son absence) mais comment vous vous sentez, je parle du fait d’être à l’écoute de son corps et de ses sensations. Il y a cet espèce de déni, ce refus de voir le problème en face aussi longtemps que l’impact sur le bien-être reste supportable. Et je crois que nous avons tous une telle résistance au changement qu’il en faut beaucoup avant de décider de faire quelque chose.
Et d’ailleurs que faire ? Beaucoup ne savent même pas par où commencer.
C’est un peu ce qui m’a amené à partager sur mon blog.
Juste par curiosité, après 4 ans sans gluten, rencontrez-vous encore parfois des problèmes ou des difficultés particulières (cuisine, voyages, socialisation, autre ?) ?
Amicalement,
Marc