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Je parle des preuves scientifiques en lien avec le syndrome du colon irritable. Comprenez un peu mieux quoi manger pour soulager un colon douloureux.

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Tout le monde croit qu’il existe UN régime alimentaire idéal pour soigner le syndrome du côlon irritable, alors que la situation est en réalité beaucoup plus compliquée !

Si vous souffrez du syndrome du côlon irritable et que vous vous demandez quoi manger, j’ai une bonne nouvelle pour vous, c’est qu’il commence à y avoir des résultats scientifiques, des preuves cliniques même, d’études qui ont été faites avec des patients qui souffrent de ce trouble…

…et montrent qu’il y a des pistes intéressantes, certaines, plus que d’autres.

On va voir tout ça plus en détails dans la vidéo :


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Et si vous préférez la version texte c’est par ici !

syndrome du colon irritable quoi manger - Les preuves scientifiques

Tout le monde croit qu’il existe UN régime alimentaire idéal pour soigner le syndrome du côlon irritable, alors que la situation est en réalité beaucoup plus compliquée !

Heureusement il commence déjà a exister quelques preuves scientifiques et cliniques, des éléments qui permettent de faire les meilleurs choix pour vous orienter, si vous avez besoin de changer d’alimentation, ou de faire quelque chose pour améliorer le problème de syndrome du colon.

Des symptômes que vous avez au niveau de la digestion, et de l’inconfort digestif, qui caractérise cette maladie, ou ce problème.

Ce que je voudrais déjà commencer par vous dire, c’est que si vous souffrez du syndrome du côlon irritable et que vous vous demandez quoi manger, j’ai une bonne nouvelle pour vous, c’est qu’il commence à y avoir des résultats scientifiques, des preuves cliniques même, d’études qui ont été faites avec des patients qui souffrent de ce trouble

…et montrent qu’il y a des pistes intéressantes, certaines, plus que d’autres, on va voir tout ça plus en détails.

Déjà, pour replacer les choses dans un contexte simple, je vais prendre un exemple.

Je prend l’exemple d’une personne qui découvre qu’elle a des troubles digestifs, des problèmes de diarrhée, de constipation.

Elle n’arrive pas trop à comprendre qu’est-ce qui lui arrive.

Mais elle s’en qu’elle a une inflammation, elle a un inconfort digestif.

Et en allant finalement chez un gastroentérologue qui finit par lui diagnostiquer un syndrome du colon irritable, qui demande un certain nombre de critères bien spécifiques, qui doivent être remplis pour pouvoir vraiment dire que l’on a ce problème.

Une fois que cette personne est ressortie avec ce diagnostic, il y a différentes choses qu’elle peut être amenées à faire pour essayer de résoudre son problème.

Et souvent quand on est face à ce cas de figure, on se pose la question : “visiblement, j’ai un problème niveau digestif, donc la clé va forcément venir de l’alimentation. Si c’est l’alimentation qui provoque ces perturbations, il faut que je trouve la bonne alimentation pour moi pour éviter d’avoir ces troubles là !”

Et en tout cas s’il y a une forme d’inflammation, il faut trouver un moyen de l’abaisser et donc de trouver quels sont les bons aliments à adopter au quotidien pour pouvoir abaisser le seuil de réaction à cette inflammation qui s’est installée au niveau des intestins.

Il y a plusieurs types de tentations qui existent quand on est face à ce problème et qu’on regarde un peu autour de soi.

Il y a la tentation de suivre un peu le bouche-à-oreille, le qu’en-dira-t-on, de regarder un peu les effets de mode, de se laisser tenter par exemple par un régime sans gluten, puisque c’est à la mode, puisque tout le monde en parle, puisque ceux qui le font disent voir des améliorations.

Pourquoi pas soi-même essayer de l’appliquer ?

Et peut-être que vous vous êtes posés la question, vous vous êtes dit : “tiens, si mes problèmes pourraient être résolus par quelque chose d’aussi simple entre guillemets que de changer mon alimentation en adoptant une approche sans gluten voire, sans gluten et sans lactose (il y a des gens qui essaient de combiner plusieurs choses et qui voient, ou qui ne voient pas des améliorations…)”.

Une fois qu’on a fait ce choix, on peut avoir un résultat qui est soit favorable, soit défavorable.

Donc on fait des efforts pendant des semaines des mois, voire plus.

On n’a pas forcément un critère très strict pour comprendre à quel moment on peut regarder en arrière et se dire : “tiens, j’ai eu des améliorations et en tout cas c’est suffisant pour valider le fait que j’ai fait le bon choix d’adopter ce type de régime pour essayer de résoudre mon problème, parce que je vois une amélioration de la qualité de vie, des symptômes que j’avais initialement, etc.

Ce n’est pas toujours aussi clair, net et aussi évident pour pouvoir définir à quel moment on peut être satisfait a posteriori du choix qu’on a fait.

Et puis le risque, majeur, c’est que si l’on regarde en arrière, qu’on a fait des efforts pendant des mois et que les résultats ne viennent pas, qu’on n’a pas obtenu ce qu’on souhaitait au départ…

On ne va pas rentrer dans le détail des symptômes là, mais l’idée c’est vraiment que si vous avez ces problèmes, vous allez voir un médecin, ou en tous cas vous pensez que vous avez ce problème, et vous faites des efforts pour corriger.

Et au bout du compte vous ne voyez pas d’amélioration, évidemment ça va vous décourager, ça va créer un doute en vous, et vous allez finir par vous dire : “est-ce que j’ai fait le bon choix ?”.

On regarde et on se dit :

“Qu’est-ce que je dois faire maintenant ?
Est-ce que je dois continuer dans ce régime là ?
Est-ce que je dois en essayer un autre ?
Lequel suivre ?
A qui faire confiance ?
Quelles sont les bonnes informations pour aller de l’avant à partir du moment où j’ai fait un essai qui n’était pas concluant ?

Je n’ai pas envie de passer ma vie à tâtonner, à essayer !!”.

Je ne sais pas ce que vous en pensez, vous ?

Mais peut-être vous vous posez la question:

“mais qu’est-ce qui marchera le mieux pour moi ?
Qu’est-ce qui vaut vraiment la peine ?
Qu’est-ce qu’il y a des chances de marcher sans prendre le risque de me décourager en cours de route ou à la fin de tous ces efforts ? (de se rendre compte qu’on a fait tout ça pour rien)
Est-ce qu’il n’y a pas une approche meilleure que ça ?”.

C’est là où entrent en jeu les avancées de la science.

J’aimerais vous parlez de ce qui se fait actuellement en recherche scientifique et en recherche clinique parce qu’il y a des choses intéressantes !

Le but du jeu, ce n’est pas pour moi de vous expliquer le détail des études qui sont faites, de quels sont les meilleures approches à adopter dans cette vidéo, l’objectif c’est plutôt de vous donner une vision globale.

J’en avais déjà parlé dans des vidéos précédentes, en parlant du syndrome du colon irritable, j’ai parlé également aussi de la sensibilité au gluten non cœliaque qui est en fait une partie des gens qui souffrent du syndrome du colon irritable, peuvent rentrer dans la catégorie de “sensibilité au gluten non cœliaque”.

C’est-à-dire que typiquement un gastroentérologue, ou même un médecin généraliste va vous classer malade cœliaque, donc une personne qui souffre de réaction vraiment violente face au gluten, qui peut avoir un impact dramatique sur la paroi de l’intestin, qui peut vraiment détruire l’intestin !

Il y a des gens qui sont dans ce cas de figure.

Mais il y en a qui échappent à ça, et qui pourtant ont des symptômes quand ils mangent du gluten.

Si vous mangez du gluten, vous allez avoir du mal à savoir, parce qu’on en mange tous les jours.

Et typiquement on en mange quasiment deux, trois fois par jour, tous les jours, sept jours sur sept.

Donc on n’arrive pas à prendre du recul vis-à-vis du gluten, parce que c’est probablement le candidat qui est le plus à risque de provoquer des effets puisque que c’est le seul parmi tous les aliments si on y réfléchit bien qu’on va mettre dans notre assiette tous les jours, à tous les repas.

Si on n’est pas très attentif on va l’avoir systématiquement.

C’est celui duquel on se méfie le moins et c’est celui vers lequel on tend le plus facilement quand on entend parler des effets de mode, ou des améliorations que certaines personnes ont pu avoir.

C’est ce que je vous ai dit au début de la vidéo.

Et donc, on se lance dans ce type d’approche là.

Le problème c’est que la sensibilité au gluten non coeliaque n’est pas reconnue à l’heure actuelle.

Maintenant, si on élargit le débat pour aller encore au-delà de ça.

Si on prend le syndrome du colon irritable, ça regroupe une partie des gens qui sont sensibles au gluten non cœliaque, et une autre partie des gens qui n’ont pas spécifiquement de sensibilité au gluten non cœliaque.

Déjà là, il y a un doute : est-ce que le régime sans gluten, c’est le mieux ou c’est pas le mieux à adopter quand on a un syndrome du colon irritable, visiblement puisque tout le monde n’est pas logé à la même enseigne, ça va être difficile de conseiller systématiquement, et pour tout le monde, de passer à un régime sans gluten pour voir des effets positifs.

Ça c’est déjà un premier état de fait, parce que tous les gens qui ont un syndrome du colon irritable n’ont pas une sensibilité au gluten, ou tout cas pas principalement un problème centré sur le gluten.

Donc les choses sont à regarder sous un angle encore plus global.

Il faut prendre du recul et s’imaginer que peut-être le gluten rentre en ligne de compte comme un des paramètres.

Une partie des gens va être concernée, et ce sera votre cas.

Mais c’est mieux d’essayer de comprendre ce que la science peut nous apporter et ce que la médecine est en train d’essayer de chercher à comprendre, pour vous éviter de tâtonner, de vous décourager, et de partir gagnant avant même de faire le premier pas en avant.

Alors, qu’est-ce qui est intéressant dans les approches actuelles ?

C’est qu’il y a une tendance qui est d’essayer d’identifier des mécanismes.

De la même manière que la médecine traditionnellement se base sur les symptômes et voit qu’est-ce qu’on peut identifier comme mécanisme, et ensuite à partir de là, on va essayer de trouver un traitement contre le symptôme.

Le problème avec ça, c’est que c’est souvent le serpent qui se mord la queue, et qu’on n’arrive pas forcément à résoudre le vrai fond du problème, simplement en neutralisant le symptôme.

On peut essayer de chercher le mécanisme, mais c’est un peu une aiguille dans une botte de foin, parce qu’à l’heure actuelle, on part du principe qu’on a une inflammation niveau de l’intestin.

L’intestin c’est quand même un organe qui est exposé à beaucoup de sollicitations qui peuvent modifier la manière dont le niveau d’inflammation commence à apparaître, et à s’installer au niveau de l’intestin.

C’est un petit peu compliqué, parce que tout le monde n’est pas, encore une fois, logé à la même enseigne.

Donc on n’est pas forcément mesure de savoir quels sont les mécanismes qui sont à l’origine du problème.

Ça devient difficile d’identifier un mécanisme parce que peut-être qu’il y en a plusieurs.

À partir du moment où il en a plusieurs, ça va être très difficile de garder une étiquette globale, et une solution globale pour tout le monde.

Jusque-là, j’espère que vous me suivez.

Mais c’est un moyen d’essayer de vous sensibiliser à l’idée que peut-être, soit suivre les effets de mode, ou faire comme tout le monde, ou faire une approche au hasard, ce n’est peut-être pas la meilleure solution, puisqu’il y a peut-être plusieurs cas de figure.

A l’heure actuelle, la science n’a pas encore toutes les clés.

Je vais essayer de vous expliquer l’approche que certains médecins ont pris dans des publications que j’ai trouvées.

Il y en a encore une toute récente, et c’est de là qu’est partie l’idée de faire cette vidéo.

C’est de vous expliquer comment ça se passe au niveau de l’approche clinique pour les gens qui ne cherchent pas forcément un mécanisme, mais qui se disent : “s’il y a effectivement des aliments en particuliers qui sont source de problèmes, est-ce qu’on choisit une alimentation au hasard ?

Ou est-ce que l’on choisit une alimentation ciblée et orientée par une approche bien particulière ?

Est-ce que l’on fait des tests spécifiques pour identifier des aliments qui pourraient avoir un lien avec le syndrome du colon irritable ?

Il y a notamment une étudie qui a été faite dans laquelle ils ont comparé des gens qui ont un traitement avec un changement alimentaire “au hasard”, comparé à un autre groupe qui a un traitement alimentaire qui est dicté par des tests d’intolérance alimentaire.

L’important ce n’est pas tellement de savoir quels sont les tests, c’est plutôt ce qui est arrivé après.

Parce qu’il y a plusieurs types de tests qui existent, plusieurs approches, plusieurs études qui ont été faites.

Et les conclusions vont toujours plus ou moins dans le sens qui est celui de la personnalisation de l’alimentation.

On a des éléments qui suggèrent que peut-être ça pourrait être intéressant de les enlever.

Et quand on compare des groupes de personnes qui ont eu soit un traitement au hasard d’un côté, ou d’un autre côté un traitement bien ciblé, individualisé, et bien le traitement individualisé va avoir un impact pour la santé meilleure qu’un traitement au hasard.

Ça montre bien quand même que chacun est différent, et que les aliments qui sont à l’origine des intolérances alimentaires vont différer d’une personne à l’autre.

Peut-être que la piste pour sortir de cette réflexion sur le mécanisme d’action, et qu’on n’arrive pas à le trouver, c’est que peut-être justement le défi est trop grand d’identifier un mécanisme, quand en réalité il y a tellement d’aliments différents, qui peuvent varier d’une personne à l’autre, et qui peuvent provoquer des symptômes similaires.

Même si le point commun c’est qu’on a le syndrome du colon irritable, les aliments qui le provoque, peuvent varier énormément d’une personne à l’autre.

Ça c’est la conclusion la plus importante qu’il faut retenir.

Ça veut dire que vous avez dans tous les cas intérêt à prendre en considération les aliments qui sont vraiment néfastes pour vous, parce que c’est là où vous allez avoir le plus de bénéfices et le plus d’impact positif, rapidement, pour améliorer vos soucis de santé.

Parce que vous vous doutez bien que ce sera beaucoup plus efficace si vous choisissez les quelques aliments qui sont importants pour vous, plutôt que d’avoir une liste énorme d’aliments qui sont standardisés, et qui en théorie sont dans un régime universel anti-inflammatoire, ou peu importe…

Ça ne va pas avoir le même effet, le même impact sur les manifestations que vous avez.

Il y a des résultats cliniques qui sont assez concordants, il y a des études plus anciennes, et une toute récente qui vient de sortir justement.

En conclusion ce qui est vraiment important à retenir, c’est que l’amélioration, quand on a un syndrome du colon irritable n’est pas due au hasard, à partir du moment où on choisit les bons aliments pour faire un changement.

C’est quelque chose de majeur !

C’est ça qui va vous éviter d’avoir à du perdre temps et à tâtonner.

Et moi je trouve que c’est une avancée qui est magnifique !

Donc au lieu d’avoir un régime universel pour tout le monde, il faut commencer à intégrer dans votre tête, l’idée qu’il faut commencer par identifier quels sont les aliments pour lesquels vous allez avoir la meilleure amélioration en faisant le minimum d’efforts.

Donc au lien d’enlever 50 aliments dont vous n’êtes pas sûrs qui vont avoir un effet positif sur votre syndrome du colon irritable, choisissez les cinq (ou 4, ou 3 ou 2, ou 1 !?) qui vont avoir le plus d’impact, connaissant votre cas individuel…

Je sais bien que ça n’est pas évident de trouver le point de départ et le point d’entrer à toute cette réflexion sur les changements alimentaires.

Donc moi ce que je vous propose de faire c’est de suivre un lien que je vous mets en lien dans la vidéo et aussi dans la description qui l’accompagne, pour vous rendre sur une page de ressources que j’ai mise en place sur laquelle vous allez pouvoir vous inscrire à différents bonus etc., si vous avez envie.

Ou en tous cas, vous pouvez vous inscrire à la newsletter que je publie régulièrement, de manière à être informé(e) parce qu’au moment de tourner cette vidéo je suis en train de faire des changements assez importants qui vont vous permettre d’individualiser très prochainement tout votre parcours, avec la prise en compte des aliments qui sont importants pour vous à surveiller.

Et je vais mettre en place toute une série de choses, donc vous regardez cette vidéo, si c’est dans le futur, il y a de fortes chances qu’en allant sur cette page vous allez pouvoir trouver justement quelque chose qui vous aidera, un outil ou moyen qui vous aidera à mieux individualiser votre votre approche, votre parcours.

Je vous encourage vraiment à le faire.

Pour aller de l’avant, c’est le prochain pas pour vraiment approfondir cette réflexion, plutôt que d’essayer de tâtonner et de partir complètement au hasard.

On arrive maintenant à la fin de la vidéo, donc je vous remercie d’avoir écouté, d’avoir suivi jusqu’au bout.

Je vous encourage vraiment à faire la démarche d’aller vers une individualisation et une personnalisation de votre parcours dans le changement alimentaire.

Et j’espère vous retrouver de l’autre côté, si vous suivez le lien.

Et moi je vous dis à très vite pour la suite !

Ciao, ciao !

[Pour découvrir l’histoire dans son intégralité, rendez-vous directement dans la vidéo en début d’article !]


📽️ DE QUOI PARLE MA CHAÎNE YOUTUBE ?

Vous êtes concerné(e) par un changement alimentaire à cause d’une maladie liée au gluten (maladie coeliaque, sensibilité au gluten non coeliaque, allergie au blé).
Des intolérances alimentaires vous font souffrir (intolérance aux produits laitiers : lactose, caséine et protéines de lait de vache). Vous avez d’autres maladies chroniques…

Je ne me contente pas d’enlever le gluten, j’ajoute des informations nutritionnelles, de la vulgarisation scientifique, une dose de créativité et quelques soupçons d’humour.


😼 QUI EST MARC WELTER ?

Je suis victime de nombreuses intolérances alimentaires.
Je parle de régime sans gluten et sans lait, d’intolérances alimentaires, de nutrition-santé
Je me sers de ma passion pour la bonne cuisine, de mon doctorat de Biologie, et de ma formation de thérapeute en nutrition-santé globale pour vous apporter un éclairage unique sur l’alimentation et la santé.
J’ai l’ambition de créer quelque chose de grand, mais pour ça, j’ai besoin de vous.

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