Mon parcours face à mes difficultés de santé m’a finalement conduit jusqu’à la création de ce site et j’aimerais partager avec vous quelque chose d’assez… Embarrassant.
J’évoque ici l’importance qu’a prise mon alimentation dans le cheminement vers une meilleure santé. Je traite en particulier du sujet de l’intolérance alimentaire : symptômes, conséquences pour moi.
J’y parle aussi du fait assez déroutant que l’alimentation peut devenir un véritable ennemi, un obstacle à la santé. Et également quoi faire pour aller de l’avant.
Car aujourd’hui, avec le recul des années et tout ce chemin déjà parcouru, je sens que j’ai une mission à remplir, et de ça aussi je voudrais vous en parler.
Alors, lisez plutôt…
UN VRAI PARADOXE
Aussi contre-intuitif et paradoxal que cela puisse paraître, certains aliments naturels, sains et habituellement reconnus comme bons pour la santé peuvent être responsables de gros problèmes (et vous allez voir que j’ai plutôt été « servi » !!).
Il n’y a pas que la « malbouffe » qui peut avoir un impact néfaste sur la santé. Cela pose aussi la question, en passant, de savoir comment naviguer avec sérénité au milieu de tout ce déluge d’informations sur internet et ailleurs qui semblent plus contradictoires les unes que les autres…
En effet, parfois les chiffres et les statistiques qu’on utilise pour se laisser guider avec « rigueur », ne reflètent pas fidèlement le vécu et le ressenti individuel. Et encore moins le fait que certains bons aliments peuvent être source de problèmes de santé plus ou moins graves pour certain·e·s.
Alors, continuez votre lecture pour en savoir plus !
Avant de partager plus en détail avec vous mes soucis avec les intolérances alimentaires, les symptômes que j’ai eus, les leçons que j’en ai tirées, je me présente rapidement.
QUI SUIS-JE ?
Je m’appelle Marc Welter.
Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été gourmand et gâté par la bonne cuisine de ma mère, sans jamais vraiment saisir l’occasion de m’impliquer aux fourneaux, ou d’apprendre à cuisiner.
Et comme toutes les bonnes choses ont une fin, je me suis retrouvé au pied du mur lorsque j’ai quitté le cocon familial pour faire des études supérieures à Strasbourg… C’est là que j’ai eu une révélation (un peu forcée) pour l’art culinaire : puisque je ne pouvais plus manger les bons plats qui ont bercé mon enfance, ni m’offrir le luxe d’aller au restaurant, j’ai très vite décidé de retrousser les manches et d’apprendre à cuisiner.
Je voulais évidemment continuer à manger de bonnes choses, et avoir la fierté de préparer mes plats moi-même.
Je me souviens encore de la magie que j’ai éprouvée à découvrir toutes les coulisses des plats que j’ai toujours appréciés depuis mon enfance, époque où je ne me préoccupais pas trop de connaitre les étapes de leur réalisation. On peut vraiment dire que je suis parti de très loin… Mais cette période de ma vie a vraiment été chargée d’émerveillement et de belles émotions pour la cuisine et la gastronomie. Jusqu’au jour où…
ALIMENTATION ET PROBLÈMES DE SANTÉ ?
Avec le recul, je me rends compte que je suis passé à côté des premiers signes évidents de problèmes apparus dès 2010. J’ai ensuite retrouvé dans ma mémoire des épisodes qui remontent à l’enfance et que je ne m’explique pas autrement que par la conclusion à laquelle je suis arrivé dès 2011.
Comme vous l’avez compris, j’ai mis des années avant de prendre conscience que l’alimentation jouait un rôle dans l’aggravation de mon état général.
Je mangeais pourtant de tout, varié, équilibré, sain.
J’avais refusé de voir l’évidence pendant tellement longtemps !
INTOLÉRANCE ALIMENTAIRE : SYMPTÔMES VÉRITABLES OU MALADIE IMAGINAIRE ?
Et puis voilà, le jour où je me suis enfin regardé en face, ça ressemblait à ça :
- Vertiges quasi quotidiens
- Migraines insupportables qui me clouaient au lit pour plusieurs jours, cette sensation que les yeux me sortaient de la tête et qu’un camion m’écrasait la tête par le dessus
- Fatigue extrême, au point de devoir dormir 3 ou 4 heures en journée tellement je me sentais faible
- Yeux rouges
- Sinusite chronique
- Saignements des gencives
- Aphtes
- Troubles digestifs et troubles du transit
- Nausées et vomissements
- Troubles du sommeil et insomnies
- Terreurs nocturnes, cauchemars, sueurs nocturnes
- Perte de poids brutale et inexpliquée
- Crampes et douleurs derrière la nuque
- Courbatures
- Sensation de brouillard permanent
- Difficulté de concentration
- Pertes de mémoire
- Deux crises de tétanie, jusqu’à provoquer des convulsions (et des semaines pour m’en remettre)
- Des épisodes de dépression (qui ont disparu avec l’arrêt du gluten et qui ne sont JAMAIS revenus depuis).
- Et j’en passe…
J’en étais arrivé là, et je n’avais rien vu venir…
Cela semble fou, et difficile à croire, mais l’explication sur le plan psychologique est simple, c’est ce qu’on appelle le déni. Un mode de protection qu’on enclenche quand on ne veut pas voir en face la réalité d’un problème.
C’est donc seulement vers la fin 2011 que je commence à établir le lien conscient entre mon alimentation et mes problèmes de santé, même si cela reste un peu flou. À ce moment-là, j’étais suivi par plusieurs médecins (généraliste, allergologue, gastro-entérologue, et même endocrinologue). Pourtant aucune analyse biologique ne parvient à confirmer ce que je crois avoir pressenti, à savoir un problème d’allergie ou d’intolérance alimentaire. Cela me laisse sur ma faim, parce que je sens au plus profond de moi que quelque chose ne tourne pas rond.
Malgré cela, mon parcours de suivi médical en tant que patient m’a conduit à des difficultés de diagnostic, et finalement tout droit dans une impasse médicale.
COMMENT AI-JE PU PERDRE AUTANT DE TEMPS ?
Je me suis demandé après coup quelle limite j’aurais dû fixer entre acceptable et inacceptable. Je crois avoir remporté la palme d’or de la perte de temps.
Je suis pourtant docteur en biologie et mon éducation scientifique de haut niveau aurait dû me mettre sur la bonne piste.
En fait, je m’étais habitué à vivre en permanence avec ce voile devant les yeux, dans le brouillard, sans oublier cette sensation de fatigue extrême. Alors avec le recul, ce n’est pas étonnant que les symptômes que je ressentais m’aient empêché de réfléchir et d’agir avec lucidité.
Il faut dire aussi que les symptômes ne sont pas apparus du jour au lendemain, ils m’avaient accompagné et pourri ma vie depuis l’enfance. Mais rien de suffisamment grave pour me pousser à agir.
Ce n’est qu’en 2011 à 32 ans que tout a basculé.
L’AGGRAVATION DE MON ÉTAT DE SANTÉ
Ce sont certains symptômes parmi les plus handicapants qui m’ont forcé à chercher une solution.
Mais je me suis rapidement retrouvé dans une impasse médicale : aucune analyse biologique n’était concluante. Pourtant, selon les médecins, j’étais en forme. Sauf que visiblement je ne l’étais pas…
En attendant, j’ai perdu la santé, et mon travail. J’ai fini par ne plus arriver à assurer les gestes simples de la vie quotidienne.
(et oui, l’image d’illustration est une version floutée qui vous montre un très petit aperçu de l’étendue de mon dossier médical de l’époque : des dizaines d’ordonnances médicales pour des analyses, des pages et des pages de bilans.)
MA DESCENTE AUX ENFERS
« C’est dans votre tête ! »
J’ai eu la joie de m’entendre dire cette magnifique phrase. et celle-ci aussi :
« Ne cherchez pas plus loin, avec le stress que vous vivez en ce moment. Et puis, pour être en bonne santé, vous devez manger de tout, et pas vous priver d’aliments comme vous le faites ! »
Je peux vous assurer que ma confiance dans le système médical occidental en a pris un sacré coup. Je me sentais mal, mais personne n’arrivait à l’expliquer, ni même à le croire. Je me suis progressivement replié sur moi-même, ne cherchant même plus d’aide extérieure, et surtout pas auprès des médecins qui m’avaient pris pour un malade imaginaire.
Ma famille s’est rangée aux conclusions du médecin. Personne ne voulait plus me croire.
Et moi je refusais d’aller consulter d’autres médecins pour me voir catalogué une fois encore comme malade imaginaire. Mon cas clinique était un mystère.
« Heureusement », certains symptômes (intolérance alimentaire, quand tu nous tiens…), je ne pouvais pas les avoir inventés : yeux rouges, sinusite, saignements des gencives, aphtes, troubles digestifs, troubles du sommeil, crises de tétanie…
Dans le même temps, ma fille est née, a grandi et s’est épanouie, alors que moi, je m’enfonçais chaque jour un peu plus.
J’en étais arrivé à un tel point que j’en étais devenu totalement incapable d’assurer les gestes de la vie quotidienne les plus élémentaires.
Croyez-moi si vous voulez, mais faire quelques courses au supermarché me donnait ensuite des courbatures pour 4, voire parfois 5 jours…
Ma compagne devait s’occuper de toutes les tâches ménagères du quotidien en plus de son travail très prenant, alors que moi, j’étais à la maison toute la journée ! Mais je n’y arrivais plus.
Conclusion : plus de 3 années noires sont passées, sans diagnostic clair, sans soutien médical, sans retrouver de travail. Une vraie descente aux enfers.
J’ai piétiné et perdu tout ce temps avant de finalement comprendre et débloquer ma situation, grâce à des rencontres, lectures, remises en question perpétuelles et tâtonnements.
ET LE GLUTEN DANS TOUT ÇA ?
Je me privais de tout ce qui semblait me faire du mal.
J’ai fini par ne plus manger que des céréales de blé complet du petit-déjeuner (« Weetabix », si vous connaissez) saupoudré de « bon sucre blanc raffiné » et baigné de « bon lait de vache entier ».
MATIN ET SOIR pendant des mois…
J’avais préféré enlever plein d’autres choses de mon alimentation longtemps avant de décider de ne plus toucher à mon pain, mes céréales du petit-déjeuner, mes croissants, mes pâtes, mes pains au levain faits maison, ou ma fameuse pizza fait maison qui avait même conquis ma compagne italienne, évidemment très exigeante sur la cuisine italienne.
Je n’avais pas accepté l’idée de changer, je ne pouvais pas y croire.
Arrêter le gluten n’a pas donné chez moi de résultats impressionnants du jour au lendemain, car je suis un cas vraiment particulier, et j’avais cumulé une belle panoplie de problèmes différents (dont une intolérance alimentaire, symptômes variés, et manifestations déjà décrits plus haut) que je ne voulais pas admettre…
Chaque cas est unique et le mien est du genre compliqué, et peut-être pas représentatif…
LA LUMIÈRE AU BOUT DU TUNNEL : COMPRENDRE MES INTOLÉRANCES ALIMENTAIRES
Et puis chemin faisant, j’ai fini par faire des rencontres. J’ai commencé à explorer des directions différentes. J’ai confirmé une intolérance alimentaire à 56 aliments.
J’ai pratiqué une éviction stricte, et contre toute attente j’ai commencé à aller mieux. Et c’est là que j’ai vraiment pris au sérieux le rôle de mon alimentation sur ma santé.
Mon doctorat de biologie ne m’avait pas formé ni préparé spécifiquement à tout cela, ni mon parcours professionnel de plus de 10 ans dans la recherche scientifique biomédicale et clinique.
Heureusement, riche de mon expérience, de ma rigueur scientifique, de mes capacités d’analyse, et de mes connaissances méthodologiques de la recherche scientifique et médicale, j’ai su utiliser mon sens critique pour remettre ma vie en question. (mieux vaut tard que jamais…).
Sincèrement, c’est grâce à ça que je suis vivant aujourd’hui, et je n’exagère pas.
Il y a bien des leçons à tirer de cette histoire.
LEÇONS APPRISES
Pour commencer, c’est grâce à mon approche scientifique rigoureuse et mon ouverture d’esprit que j’ai trouvé une voie vers un début d’amélioration de santé.
Avant cela, je me suis contenté de l’avis de quelques médecins et des quelques analyses de routine qui laissaient penser que tout allait bien (les bilans de santé médicaux de base ne voient pas tout, loin de là…).
Parfois, j’entends dire : « J’ai fait des prises de sang et des analyses complètes, le médecin dit que tout va bien ».
Maintenant, plus que jamais, j’ai compris qu’on peut vous faire faire des dizaines de prises de sang sans y trouver les signes biologiques d’un cas clinique complexe. Il existe à la fois tellement de choses qui circulent dans le sang, et nos connaissances sont tellement limitées aujourd’hui encore, que les techniques d’analyse moderne ne font pas tout…
Juste pour faire une parenthèse, on ne sait pas faire de sang artificiel capable de remplacer 100 % des fonctions du sang humain, car on n’a pas le niveau de connaissance suffisant. Sinon pourquoi continuerait-on à demander à la population de faire des dons de sang, si on pouvait s’en passer ?
Enfin, pour terminer, je tiens à dire que tout le monde peut progresser de meilleure manière face à ses difficultés de santé liées à l’alimentation parce qu’il suffit de chercher des informations et de l’aide pour ne pas perdre du temps, et ainsi éviter le risque de voir son état général s’aggraver.
Pour cela, il faut les bonnes informations au bon moment. Et c’est là que tout se complique.
À qui faire confiance ?
Vers qui se tourner quand on se sent perdu ?
MA MISSION A VOTRE SERVICE
Mon parcours m’a profondément marqué. Ces épreuves ont bouleversé ma vie. Ma fille est née au moment où tout a commencé à aller vraiment très mal pour moi…
Je vous laisse imaginer l’impact sur mon entourage.
J’ai longtemps cru que j’étais seul dans ce cas.
Quand j’ai finalement commencé à aller mieux, j’ai voulu débuter un blog. Le Blog-Sans-Gluten était né. C’est un excellent moyen pour moi de partager ce que j’apprends.
De cette manière, mon site a déjà eu l’immense honneur d’accueillir des centaines de milliers de personnes, comme vous peut-être. Des personnes qui sont en difficulté de santé et qui ont découvert un lien entre des symptômes et l’alimentation (gluten, voire autre), ou qui cheminent dans cette direction.
J’ai tellement souffert, et perdu d’années, qu’aujourd’hui j’ai une sacrée revanche à prendre sur la vie. Et j’ai décidé de faire de mon mieux pour vous aider, car je ne peux pas garder tout ce que j’ai appris pour moi, alors que je pourrais aider tant de personnes.
Aujourd’hui, je parle à nouveau avec les médecins, en particulier celles et ceux qui sont suffisamment ouverts d’esprit pour entendre de nouvelles idées. D’un autre côté, je tiens à garder le contact avec ce qui se fait actuellement dans la pratique médicale courante. Je ne suis donc pas « rancunier » d’avoir été en situation d’impasse médicale par le passé. La médecine moderne n’est peut-être pas parfaite, mais elle est utile et importante, surtout en cas d’urgence médicale.
Mais il faut maintenant aller plus loin et avancer en complémentarité.
C’est pourquoi j’étudie la littérature scientifique très régulièrement. Je me suis ouvert à de nouvelles approches sans jamais perdre de vue la rigueur scientifique par laquelle je me suis formé, et mon sens critique auquel je tiens.
Comme vous le voyez, l’énergie et la force que j’avais perdues depuis si longtemps sont revenues. J’ai même décidé de prendre du recul vis-à-vis de mon ancienne activité professionnelle dans l’industrie pharmaceutique. C’est dire l’importance que je donne à cette mission que j’ai aujourd’hui, ici, face à vous.
J’ai choisi de mettre dès maintenant tous mes efforts et toutes mes compétences en œuvre pour VOUS aider.
Mon blog-sans-gluten témoigne de ma volonté de vous aider à mieux comprendre l’importance de l’alimentation vis-à-vis de votre santé.
L’alimentation peut parfois être source de problèmes de santé. C’est peut-être votre cas. Et paradoxalement, l’alimentation est aussi une ressource merveilleuse sur le chemin d’une solution à des problèmes de santé.
Ce combat est plus que jamais MON combat.
J’espère que mon article Intolérance alimentaire : symptômes qui pourrissent la vie (la mienne aussi) vous a plu.
Si vous pensez qu’il pourrait concerner une personne qui vous est chère ou une connaissance, je vous invite à partager le lien de cet article !
ps.
J’ai bien conscience que cet article est long. Il est aussi très personnel. Il m’a demandé beaucoup d’efforts d’écriture et de révision. Il a réveillé beaucoup de tristes souvenirs et de douleurs enfouis (et dire que je ne suis même pas rentré dans le détail de toutes les histoires que j’aurais pu vous raconter…).
Mais je reste persuadé qu’il était indispensable pour moi de faire un retour en arrière et de donner un témoignage pour me permettre d’aller de l’avant. Si l’envie vous prend de faire l’exercice vous aussi : rendez-vous sur la page de contact et dites-moi « bonjour » (n’hésitez pas à m’écrire un message pour partager votre histoire…)
Bonjour, Il y a presque un an que j’ai arrêté le gluten, les produits laitiers et le sucre raffiné. Je l’ai fait pour me débarrasser de mes migraines qui me clouaient régulièrement au lit tous les mois, si ce n’est plusieurs fois par mois. Au début j’ai eu moins de migraine. Mais elles sont revenu petit à petit. Alors j’ai été très déçue. Mais alors que j’avais de l’embonpoint, et qu’aucun régime n’en venait à bout, j’ai rapidement perdu mon poids en trop. Etant ménopausée, j’étais persuadée que je ne maigrirai jamais. Et bien, ça a été rapide et efficace puisque je me suis stabilisée à un poids de forme que j’avais avant mon adolescence. depuis 6 mois, je n’en bouge plus. Pour en revenir à mes migraines, j’ai testé l’éviction totale du sucre. Et ça a marché. C’est à dire que j’ai en plus du sucre raffiné, supprimé les fruits. Bananes, pommes; oranges etc. Puisque les légumes suffisent. Mais je dois dire que je n’ai pas réussi à le faire longtemps. Dommage car j’étais en pleine forme. Voilà ce que je faisais: Ni gluten, ni produit laitier. Pas d’alcool, pas de pomme de terre, Aucun fruit hormis les citrons. Aucun aliment entre 21 heures et Midi le lendemain. Café, thé,Ok. J’ai par la même occasion supprimé les fruits à coque. Noix diverses, car là c’est migraine dans les heures qui suivent. Je mangeais viande et légumes bio. Mais je n’ai pas réussi à aller plus loin qu’un mois. J’ai réintroduit les fruits, surtout les pommes. Et si aujourd’hui mes migraines sont moins fortes et réagissent plus rapidement au traitement, j’en ai encore fréquemment hélas. Avec la fatigue qui va avec. J’ai quand même du mal à me dire qu’il faudra que j’élimine définitivement les fruits. Voilà. Contente d’avoir maigri, mais toujours insatisfaite.
Bonjour Marc,
Comme beaucoup, j’ai arrêté le gluten et les laitages ce qui a déjà amélioré mes problèmes intestinaux en seulement 2 mois. Mais comme toi j’ai plein d’autres symptômes inexpliqués et dont j’aimerais vraiment me débarrasser pour aller vers un mieux être ! Déjà je tiens à te remercier de ton témoignage car ça permet de se sentir moins seule face à ces difficultés (car comme tu l’explique si bien ce n’est pas du côté du corps médical qu’on trouve des appuis et solutions) et ca m’encourage à poursuivre dans cette voie.
Tu parles dans ton témoignage d’une cinquantaine d’autres intolérances alimentaires mais comment découvrir si comme toi j’en ai d’autres et quelles elles sont ? Tu parles de tests complémentaires, peux tu me donner des précisions à ce sujet ?
Merci et à bientôt.
Bonjour Ophélie,
Je suppose que Marc va répondre bien mieux que moi à ta question, et j’espère qu’il va accepter de publier ma réponse, qui n’est qu’un témoignage du cas de mon époux et de celui de trop d’autres personnes. C’est malheureusement par tâtonnements que bien des gens, comme Marc, et comme nous-mêmes, finissent par mettre le doigt sur les aliments (ou ingrédients) à problème. Depuis que je me suis penchée sur le sujet, il y a maintenant plus de quatre ans, j’ai découvert que l’on peut être, en plus du gluten et des produits laitiers, intolérant/allergique aux sulfites (le cas de mon mari), et aux additifs en général, ou bien aux histamines, aux fécules/gommes, aux crustacés, à certains légumes que les anglophones appellent « nightshade vegetables »… L’une des façons de mener l’enquête soi-même (triste à dire, mais pour l’instant le corps médical ne semble pas très formé sur le sujet, donc on ne peut pas vraiment compter sur les médecins), c’est de tenir un journal où l’on consigne tout, j’insiste, tout, ce que l’on ingère chaque jour, et les symptômes que l’on constate. Attention, c’est contraignant, et il faut garder en tête que les réactions en cas d’intolérance viennent à retardement.
On peut aussi réagir aux produits que l’on applique sur la peau, ou que l’on inhale, mais dans ce dernier cas c’est plutôt le système respiratoire qui est touché.
Je vais finir avec une question, pour Marc, qui fait suite à une discussion que j’ai eue avec une cousine plus âgée, qui souffre depuis des années de problèmes digestifs, mais qui ne veut pas se lancer dans un régime d’éviction parce que « Quand on commence, on ne peut pas faire marche arrière, même si on n’a pas vraiment d’intolérance au gluten ». Est-ce vrai? Personnellement, je ne vois pas la logique derrière cette affirmation, mais je ne suis pas spécialiste.
Bon courage, Ophelie, c’est une quête longue, mais un en vaut la peine. Mon mari, comme moi, avons retrouvé la santé!
Bonjour,
Votre témoignage à fait écho en moi. Depuis 15 ans je souffre de fatigue chronique mais il y a 10 ans j’ai fait une telle poussée que je pouvais à peine tenir debout. Le verdict est que je n’avais rien ! La neurologue en a conclut que j’étais en surmenage. Évidemment je l’ai cru car je travaillais beaucoup. Pourtant même en vacances j’étais fatiguée alors je me suis trouvée un tas d’excuses.
Et puis ces dernières années j’ai beaucoup souffert de migraine, et j’ai régulièrement des problèmes d’acné. Entre-temps j’ai déménagé donc changé de médecin. Je lui ai parlé de ma fatigue chronique et là, elle me donne le coup de grâce « puisque votre thyroïde est normal c’est que vous êtes dépressive »! Depuis je n’ai plus confiance en la médecine et cherche moi-même les causes de ma fatigue. J’AI demandé à mon médecin de me prescrire l’analyse de sang pour les intolérances alimentaires. Je suis incapable de comprendre réellement le résultat mais je sais que j’ai une sensibilité ou intolérance au gluten. Depuis mes céphalées ont presque disparues et j’ai un peu plus d’énergie mais j’avoue que le problème n’est pas complètement résolu … alors je continue de chercher !
En tout cas merci infiniment pour la qualité et le contenu très complet de votre blog. Ainsi vous aidez un grand nombre de personnes à manger sans gluten et vous nous simplifiez la vie 🙂
Amicalement,
Hélène
Bonjour Hélène,
D’abord un grand merci pour votre témoignage et votre commentaire qui détaille vos symptômes, votre parcours, et la difficulté de trouver une écoute attentive auprès des médecins…
J’ai noté dans votre commentaire la bonne nouvelle de l’amélioration de vos symptômes en retirant le gluten, même si j’ai aussi lu que vous ressentez que votre problème n’est pas complètement résolu à ce stade.
La première réaction est de vous dire déjà de laisser le temps agir car si vous avez souffert de fatigue chronique depuis 15 ans, le fait de retirer le gluten ne va pas forcément avoir l’effet d’une baguette magique instantanée. En parallèle, vous faites très bien de continuer à chercher et à investiguer car la clé pour comprendre le fin mot de l’histoire, et la source de votre problème, est peut-être ailleurs, ou en tout cas un peu plus compliqué que simplement une question de gluten…
Merci beaucoup pour vos compliments et vos encouragements qui me vont droit au cœur.
Je vous souhaite une excellente continuation dans votre cheminement.
N’hésitez pas à revenir me donner de vos nouvelles, à venir réagir aux commentaires des autres membres de la communauté, ou en venant partager vos retours d’expérience, etc.
Amicalement,
Marc
Bonjour
Plusieurs années de fatigue intense, de l’hypotension (8) puis de l’arthrose et des tendinopathie, des migraines sans fin. Mon médecin ne de l’époque ma finalement fait comprendre qu’il fallait m’y faire et vivre avec. J’ai refusé et me suis tourné vers un nathuropathe qui m’a simplement demander de changer l’alimentation en éliminant le gluten et le lait. Je me suis d’abord dit que c’est un régime à la mode. Mais je n’avais rien à perdre. Aujourd’huije ne regrette pas malgré des séquelles à gérer. Merci à vous
Bonjour Dominique,
Je vous remercie pour votre touchant témoignage, ainsi que l’espoir que cela donne pour toutes celles et ceux qui ne sont pas encore parvenus à trouver l’origine de leurs problèmes, en particulier quand il s’agit de migraines, arthrose, hypotension, fatigue intense, qui sont tous des symptômes relativement fréquents et qu’on a généralement beaucoup de mal à relier à quelque chose d’ordre alimentaire.
Je suis donc très content que vous ayez réussi à trouver un lien entre alimentation et symptômes qui vous « pourrissaient » la vie. J’espère que les séquelles, comme vous dites, qui restent à gérer valent bien mieux que de revenir en arrière pour revivre les symptômes que vous avez décrits.
J’espère que mon blog vous apporte, et vous apportera des informations et des pistes utiles pour poursuivre votre démarche.
Amicalement,
Marc
Bonjour Marc,
Si j’ai tardé à réagir à ton billet c’est par manque de temps, car je tenais à te donner une réponse détaillée afin d’apporter ma pierre à l’édifice.
Témoigner me paraît essentiel, j’espère que cela permettra à d’autres de se poser les bonnes questions. En effet, on a du mal à croire que ce sont des produits « de base » qui peuvent être à la source de problèmes de santé. Comme toi, avant d’entendre une ostéopathe suggérer une éviction de gluten et produits laitiers à mon mari, j’étais absolument persuadée de cuisiner sainement et de façon équilibrée. D’ailleurs c’est par défi, « pour lui montrer qu’elle avait tort » (je cite mon mari en sortant de chez elle… Il était complètement remonté et moi aussi: mais qu’est-ce qu’on allait bien pouvoir manger?!!!) que nous nous sommes lancés dans cette incroyable aventure, il y a maintenant plus de trois ans. Or, au bout de trois semaines, force était de constater les améliorations suivantes: plus de ballonnements, de gaz, (problèmes déjà signalés à mon médecin qui m’avait prescrit du charbon végétal, sans effet), de maux de ventre (pour moi), de constipation, d’écoulement post nasal, d’acné même. Sans jamais être en surpoids, j’avais ces problèmes depuis l’âge de 22 ans. Je donnais aussi des coups de pied en dormant, et mon époux ronflait copieusement (pour se venger ?). Tout cela a disparu! De plus, au bout de trois semaines, il a également constaté une meilleure respiration, lui qui depuis plus de vingt ans était suivi pour de l’asthme et des allergies diverses et variées: pollens, poils de chats, acariens… Une recherche personnelle plus approfondie nous a permis d’identifier les sulfites comme la source première de ses problèmes à lui. Et là les choses se sont compliquées pour ce qui est de ma cuisine, puisque les sulfites sont en fait des conservateurs alimentaires très bien cachés, pas forcément indiqués sur les emballages. Mais sans gluten, sans produits laitiers et sans sulfites mon époux n’a plus d’allergies, plus d’asthme, ne ronfle plus, n’a plus de terreurs nocturnes (j’étais extrêmement surprise de retrouver ce symptôme chez toi), plus de migraines alors qu’il y était sujet depuis l’adolescence. Notre pharmacie s’est réduite en peau de chagrin, et c’est formidable.
Ce qui est étrange, c’est que très jeunes nous n’avions aucun de ces problèmes. C’est donc au fil du temps que notre corps a exprimé son ras-le-bol. On peut légitimement se poser la question de l’évolution de l’alimentation industrielle: du côté de mon mari, sur nos 5 petits neveux, 2 sont allergiques aux arachides (les premiers de la famille), et un troisième est autiste, maladie qui est « apparue » vers ses 2 ans.
Voilà, tu sais tout!
Bonjour Joëlle,
Même si nous avons déjà échangé à de nombreuses reprises par email et via tes commentaires toujours bien à propos, ce témoignage très complet est touchant. Et ton analyse de tout ce qui a changé, depuis l’évolution très favorable des symptômes initiaux, pointe effectivement vers un lien avec cette chose qui semble aussi banale que l’alimentation. Les changements que tu décris pour toi et ton mari sont de vrais bouleversements, et je crois qu’il faut l’avoir vécu pour le croire. Ce qui est impressionnant c’est qu’il y a toujours un fil conducteur, un point commun, malgré les différences individuelles face à des symptômes qui peuvent parfois sembler secondaires mais qui diminuent bien souvent la qualité de vie…
Les terreurs nocturnes, ont fait partie de ces symptômes apparus assez tardivement pour moi, et qui ont disparu comme par enchantement avec l’arrêt du gluten et des produits laitiers en particulier.
Ce que tu mentionnes ensuite vers la fin de ton témoignage à propos de ta réflexion sur les allergies et manifestations de réactions à l’alimentation chez la nouvelle génération d’enfants est en effet assez troublant. Je m’étonne un peu comme toi, et je ne peux m’empêcher de penser que ça n’est peut-être pas le fruit du hasard, même si l’on trouvera toujours un esprit scientifique sceptique démontrer à coup de statistiques que la tendance n’est pas avérée à l’échelle de la population générale…
Merci encore une fois pour ce très riche témoignage et pour la qualité de tes interventions sur mon blog.
Amicalement,
Marc
Bonjour, Merci pour votre témoignage, il me parle beaucoup, je me retrouve dans beaucoup de choses que vous exprimez. J’ai arrêté de consommer du gluten moi aussi, cela a amélioré énormément de choses, parce que je pouvais rester plusieurs jours sans pouvoir sortir de mon lit, parce que j’avais très mal surtout aux articulations et jusqu’à présent les médecins ne comprennent pas parce que les résultats de mes analyses varient tout le temps. Ils m’ont diagnostiqué une mastocytose en me disant que c’est un diagnostique provisoire parce qu’ils ne comprennent pas. Mais ce n’est pas le premier diagnostique. Je ne suis pas encore complètement bien, j’ai encore des migraine, grosse fatigue, irruption cutanée, trouble de la digestion. Je crois que j’ai trop tardé avant d’écouter ce que me disait mon corps, mais je crois que je suis sur la bonne voie.
Bonjour Noella,
Merci pour votre témoignage ! Je suis à la fois ravi et triste que vous vous retrouviez dans ce que j’ai écrit dans cet article sur les symptômes des intolérances alimentaires.
Ce qui me plait dans votre message ce sont les points positifs, à savoir que l’arrêt du gluten a amélioré les choses chez vous. Même si les médecins ne parviennent pas forcément à comprendre pourquoi ou comment, c’est selon moi le résultat qui compte. Donc : félicitations !
Je note que vous ne vous sentez pas encore complètement bien. D’une part il faut parfois beaucoup de temps pour récupérer quand on a été affaibli pendant de longues périodes. D’autre part, il reste peut-être autre chose que le gluten qui pourrait expliquer que vous n’avez pas encore rejoint vos objectifs d’amélioration complète. L’important lorsqu’on ne va pas encore bien, ce n’est pas de perdre trop de temps à regarder en arrière, mais de regarder droit devant soi. Ce que je le fais dans cet article où je regarde en arrière, c’est un exercice qu’il vaut mieux faire une fois qu’on est vraiment sorti des problèmes. Si vous êtes convaincue d’avoir tardé avant d’écouter votre corps, alors que cela vous donne encore plus d’impulsion pour aller de l’avant et rejoindre vos objectifs de santé !
Vous êtes sur la bonne voie, et cette prise de conscience face à vos symptômes est une belle note d’espoir pour la suite de votre démarche.
Bien amicalement,
Marc
bonjour
Moi, j’ai tout simplement décider d’arreter le gluten et les produits laitiers de vache
je m’accorde quelquefois un petit morceau de fromage de chévre ou de brebis, mais rarement
je m’alimente essentiellement de fruits et légumes crus, je fais des jus de vegetaux et fruits,
je consomme beaucoup d’orties sous toutes ses formes
je mange pratiquement pas de viande, quelques oeufs bio, des fruits et oleagineux
des legumes secs, du kinoa
Et comme corps gras , j’utilise de l’huile d’olive et de coco
pourquoi ce choix , alors que je ne suis pas ni allergique , ni intolérente, tout simplement que je ne fais confiance qu’a moi méme
on est bluffé sur pratiquement tout
on trouve de tout dans les produits transformés
mon budjet m’autorise a achter des produits bruts et bio si que possible
je ne ressens aucune frustration , ni manque de quoi que ce soit
je me sens trés en forme, j’ai d’excellentes analyses sanguines, j’ai une morphologie qui ne stocke pas de graisse, mais je suis toujours dans l’action
Toujours est il que mon fonctionnement interpelle mon entourage, mais je suis sure de mes convictions
voila, je ne pense pas que mon message soit d’une grande utilitée, mais je peux dire que de toute façon, on mange trop et mal
voila , il y a autant de personnes mals et malade
ajouter a cela la sedentarité et le mode de vie, et vous faites des deprimés des malades ,
devenir de plus en plus minimaliste, avoir plus d’empatie, et moins materialiste
c’est tout
Bonjour Barcet,
Ma première réaction que j’ai eue en lisant votre commentaire a été de me dire : « non je ne suis pas d’accord ! ». Je m’explique.
Cela concerne la phrase où vous dites que vous n’êtes pas convaincue que votre message soit d’une très grande utilité. Je ne suis pas d’accord et je pense que vous avez très bien fait de dire ce que vous pensez, et que je partage votre vision en tous points. Ce que vous dites est très important, et je vous félicite pour votre détermination et la qualité de vos choix alimentaires.
C’est d’autant plus rare d’opter pour ce type de choix sans avoir l’obligation de le faire. C’est généralement sous la « menace », pour raisons de santé, qu’on devient disposé à envisager un changement, et parfois, même à entreprendre un changement majeur. Parfois les problèmes ne suffisent même pas pour provoquer de vraie remise en question, ou alors très tardivement (comme moi). C’est généralement par réaction, et très rarement par anticipation, ou par simple bon sens. Bravo, votre témoignage est un exemple à suivre. Moi, par exemple, je n’ai pas su voir ceci avant de devoir reconnaître que je ne pouvais pas raisonnablement continuer à me ruiner la santé ainsi…
Votre message est donc un beau message d’une grande sagesse.
Ceci dit, mon blog accepte évidemment aussi les personnes qui n’ont pas encore fait tout ce chemin, et qui n’ont pas encore entrepris les changements majeurs qu’elles pourraient/devraient faire.
Encore un grand merci pour ce témoignage que j’ai lu avec beaucoup d’intérêt.
Excellente continuation, et au plaisir de vous lire encore.
Mes amitiés,
Marc
Bonjour,
C’est exactement ce que je mange aussi depuis 4 ans.
J’ai connu un stress important sur mon lieu de travail qui m’a valu d’être couverte de psoriasis de la tête aux pieds.
Je n’ai pas voulu appliquer la crème à la cortisone prescrite par 1 dermato.
J’ai préféré faire des recherches afin de me soigner le plus naturellement possible.
J’ai découvert les travaux du Dr SEIGNALET (aujourd’hui disparu). J’ai suivi son régime sans produits laitiers ni gluten et j’ai été guérie en 3 mois.
J’ai acquis la certitude que l’on pouvait guérir beaucoup de pathologies avec l’alimentation.
Je me suis mise aussi au sport : 1 h tous les matins.
J’ai 56 ans et suis en pleine forme.
Bonjour Frankie !
Merci pour ce commentaire, et félicitations pour cette forme retrouvée !
Amitiés,
Marc
Bonjour Marc,
Mes filles ont suivie le même parcours, et tout allait bien selon les médecins, A la limite c’était moi qui alimentait leur réaction. Difficile de faire face à de telles conclusions. Je voyais bien qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas du tout. Ma fille aînée a eu une syncope au magasin et là je me suis dit que je n’étais pas du tout responsable et qu’il y avait un problème qu’il fallait trouver et résoudre. En questionnant, et pas à pas, j’ai constaté qu’a chaque fois elle mangeait des produits laitiers et leurs dérivés elle était malade. Ma fille cadette elle avait des problèmes digestifs, des problèmes de concentration, des rhumes à répétition… J’ai découvert ton site et là j’ai eu la révélation qu’elle avait une intolérance au gluten car j’y retrouvait les symptômes dont elle souffrait. Et j’ai pu enfin changer son alimentation et la soigner. En parallèle j’ai suivi une formation en nutrition naturelle et actuellement je suis en formation coach nutrition. C’est grâce à toi et à ton blog que j’ai découvert et exploité des pistes. Un tout grand merci Marianne
Bonjour Marianne,
Ce message me touche très sincèrement. Le fait de savoir que les informations que je partage sur mon blog t’ont permise d’une façon ou d’une autre d’aider tes enfants grâce à un changement d’alimentation est vraiment quelque chose d’extraordinaire.
Le gluten et le lait peuvent être une telle source de problème pour certaines personnes ! Et en plus ce n’est pas une mince affaire de s’en séparer, avec l’ampleur de l’offre et des habitudes quotidienne qu’on nous a fait prendre (je veux parler en particulier de l’offre des produits transformés à partir du lait qui a explosé depuis la fin de la seconde guerre mondiale, et l’enjeu que cela représente aujourd’hui…).
Alors, oui, ton témoignage me touche profondément. Et si une vocation est née, je t’encourage évidemment à poursuivre dans cette voie et d’aider les autres à ta manière.
Amicalement,
Marc
Je me retrouve dans ton parcours, même si mes intolérances concernent non pas le gluten mais le lactose et le fructose. C’est un vrai parcours du combattant car on ne trouve pas de soutien, aucun chez les médecins et avec la famille, l’incompréhension demeure souvent. Il faut tenir bon jusqu’aux diagnostics puis commencer une nouvelle vie, loin de nos maux devenus habituels mais remplie de nouveaux défis pour s’alimenter au quotidien… et gérer ses frustrations.
Je partage mon expérience sur mon blog (en cours de construction) si ça t’intéresses.
Mes amitiés à un compagnon d’infortune !
Bonjour,
Je souffre énormément depuis 2 ans de problèmes digestifs qui sont : douleur dans les intestins et nausées/vomissements tardifs + une grande fatigue.
Psychologiquement c’est très très dur, je souffre le martyr.
Les médecins n’expliquent pas pourquoi j’ai ces problémes malgré une batterie de tests conséquentes.
Du coup j’ai deux questions:
Y-a-t’il un intérêt à simplement diminuer le gluten ? C’est vraiment une question très flou sur le net les régimes sont plutôt très stricts
Il y a deux ans j’ai été malade pendant 6 mois puis plus rien pendant un an avec retour des symptômes depuis décembre, si c’est bien le gluten comment est-ce possible ?
Bonjour Tom,
Merci d’avoir pris le temps de venir partager votre témoignage ici.
Je comprends que ce soit dur psychologiquement, d’autant plus que je l’ai vécu aussi…
Je prend note de vos questions pour les traiter en détail dans de prochains articles/vidéos.
En bref, du point de vue des médecins, seule la maladie coeliaque exige un régime sans gluten strict. Il existe d’autres cas non reconnus, ou difficiles à diagnostiquer tels que la sensibilité au gluten non coeliaque, ou d’autres types de réactions d’intolérances alimentaires qui ne bénéficient pas d’outils de diagnostic médicaux à ce jour.
Ne sachant pas forcément quel mécanisme est en jeu, réduire ou arrêter le gluten strictement doit rester une réflexion spécifique à chaque cas, et si possible dans le cadre d’un suivi adapté. Vraiment, si vous n’avez pas trouvé de réponse claire sur internet, c’est parce qu’il faut impérativement prendre en compte le contexte dans son ensemble. Et vous l’aurez sûrement compris, le contexte varie d’une personne à l’autre et en fonction du temps aussi. Ceci est d’autant plus important à considérer avant de pouvoir répondre à votre deuxième question.
A ce stade pour vous, je pense que le plus important est de prendre conscience et d’explorer la vraie nature de votre problème. Et ensuite de s’y attaquer sérieusement.
Si vous souhaitez poursuivre cette conversation en privé, sachez que je propose maintenant la possibilité d’une consultation d’orientation gratuite dans certaines conditions, et une activité de conseil et d’accompagnement nutritionnel en suivi personnalisé.
Voilà le lien :
https://marcwelter.com/blogsansgluten/besoin-d-un-accompagnement/
Amicalement,
Marc
Bonjour merci pour votre article
J’ai deux questions
Comment avez vous trouvé vos intolerances
Quelle est votre formation en nutrition?
Bonjour Isabelle,
Merci pour votre message.
La formation en nutrition je l’ai faite à Genève dans l’institut de formation Esclarmonde, avec comme formateur Jacques B. Boislève, dont je publierai très prochainement une vidéo d’interview (à priori la semaine prochaine).
Concernant mes intolérances, c’est une combinaison de plusieurs approches et tâtonnements, et de confirmations par des tests sanguins d’intolérances alimentaires ensuite. Je ne recommande cependant pas aux gens de suivre la même voie que moi, et surtout pas de réaliser de tests sanguins en première intention, sans suivi et sans avoir compris d’abord ce qui est réellement en jeu.
Comme dit dans un précédent commentaire déjà, je reviendrai sur cette question fréquente sous la forme d’un article / vidéo pour mieux faire le tour de la question.
Amicalement,
Marc
Felicitation et merci a vous pour ce temoignage. Grace a une amie, Brigitte Oliviera, J’ai effectue un controle de mes intolerances alimentaires. Je souffrais de cephalees de tension chroniques, problemes de digestion, acne etc… Aujourd’hui, apres eviction du gluten et produits laitiers, je me porte beaucoup mieux. Je revis….
Bonjour Valérie,
Quel plaisir de lire votre témoignage ! C’est vraiment une belle avancée. Je note, « comme par hasard », que gluten et lait sont sur votre liste… Ce qui est fou c’est que les symptômes d’intolérances alimentaires sont très durs à identifier car ils correspondent à des manifestation très banales finalement (céphalées, problèmes de digestion, acné, etc).
Est-ce que cela fait longtemps que vous avez découvert ces intolérances alimentaires ?
Amicalement,
Marc
Bonjour c vrai c est très long à lire je voudrais savoir comment faire pour trouver exactement les intolérances alimentaire que l on peut avoir merci
Bonjour Geneviève,
Merci pour votre message. Votre question fait évidemment partie des questions les plus fréquentes. Ce n’est pas aussi simple d’y répondre que cela en a l’air car il y a de nombreuses raisons pour lesquelles, la bonne réponse n’est pas forcément « faites le test d’intolérances alimentaires x ou y ». Pour être clair et complet, j’ai décidé de répondre très prochainement à travers un article, éventuellement une vidéo pour clarifier cela pour tous, plutôt que de voir des informations importantes noyées dans l’espace commentaire où elles seraient bien moins visibles et utiles plus tout le monde qui lit cet article.
Merci pour votre patience.
Amicalement,
Marc